Sujet: Nostalgie, quand tu nous as... Feat. Nala <3 (UC) Lun 2 Fév - 5:41
You, me and this crazy life ♛ Feat Ôrora ♛
''Things ain't what they used to be and probably never was. .''
Underko, je dois dormir :$
Pétunant sous la splendeur smaragdine de cette pleine lune, je laissais aller mon esprit perturbé, vois torturé, à ses habituelles réflexions, sur tout et sur rien. Parfois, elle contemnait profondément cette société, d'autrefois, elle tentait de trouver un sens à cette vie, à sa vie, tandis qu'il avait des moments, comme cette nuit, ou tout simplement, elle fixait le vide, le laissant pénétrer en elle, afin de s'en imprégner, de le laisser lénifier les blessures causé par le temps, par l'incompréhension du pourquoi et du comment, par tout et rien. Ces abstruses réflexions me menaient-elles quelque part ? Je ne crois pas, en fait, peut-être, j'en savais foutrement rien. Je les avais, c'est tout. Je me dis qu'il est mieux d'avoir de tel pensé que de ne pas en avoir du tout et devoir vivre dans ce vide sans même en être conscient. Je préférais être maître de ma destinée que de devoir subir les décisions d'autrui sans pouvoir y faire objection. Tout ça, quand j'y pense, car ouais, on dirait que je fais que ça, penser, bah ça n'a pas de sens. Je suis quotidiennement en proie à un étrange sentiment de déréliction, je n'ai ni ami, ni famille, ni rien.. C'est alors que je suis épris d'une immense douleur au ventre
*Fils de pute*
Je l'avais oublié lui... Mon copain à queues, il venait de me rappeler son existence ce petit coquin.... je go dodo dsl, j'ai un examen demain, j'ai hâte de finir ce rp!!!
Je oniam mirari posse quosdam peregrinos existimo haec lecturos forsitan, si contigerit, quamobrem cum oratio ad ea monstranda deflexerit quae Romae gererentur, nihil praeter seditiones narratur et tabernas et vilitates harum similis alias, summatim causas perstringam nusquam a veritate sponte propria digressurus.
Je oniam mirari posse quosdam peregrinos existimo haec lecturos forsitan, si contigerit, quamobrem cum oratio ad ea monstranda deflexerit quae Romae gererentur, nihil praeter seditiones narratur et tabernas et vilitates harum similis alias, summatim causas perstringam nusquam a veritate sponte propria digressurus.
- Nemo quaeso miretur, si post exsudatos labores itinerum longos congestosque adfatim commeatus fiducia vestri ductante barbaricos pagos adventans velut mutato repente consilio ad placidiora deverti.
Ute nim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit. Quid enim? Africanus indigens mei? Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae.