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Seiza Kudõ ∞ Mighty Long Fall

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Seiza Kudõ
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MessageSujet: Seiza Kudõ ∞ Mighty Long Fall Seiza Kudõ ∞ Mighty Long Fall EmptyDim 18 Jan - 20:04




Kudõ Seiza

Ne... Okkoteru ?

١ Nom : Kudõ

١ Prenom : Seiza

١ Age : 27 ans

١ Sexe : Féminin

١ Village : Nukenin, jadis Kumojin

١ Rang Souhaité : Jônin B

١ Nindô : « La réalité a souvent deux visages, comme les questions ont deux réponses. »

١ Affinités : Fuuton & Suiton

١ Spécialités : Genjutsu & Ninjutsu




MENTALITÉ
Silence. Les mots ont une importance capitale et Seiza n'a jamais ressentit le besoin de les utiliser à tort et à travers. Bien sûr elle aime parler, que ça soit avec des inconnus ou avec Ashitaka, mais si on ne la lance pas sur un sujet de conversation ce n'est pas elle qui ira chercher quoi dire. Elle estime qu'ouvrir la bouche trop souvent offre l'opportunité à la personne d'en face d'en savoir plus sur son interlocuteur et qu'il serait regrettable de prendre le risque de tomber par erreur sur un Kumojin.

Fatigue. On pourrait, à première vue, prendre ça pour du calme, tout simplement, mais ça ne l'est pas. A la base, Seiza est une personne dynamique et souriante, à la malice aussi grande que la bonne humeur, mais après plusieurs années à avoir subi la maladie, elle est juste fatiguée. Elle sourit rarement, a constamment l'air shootée et est devenue d'une maladresse affligeante.

Courage. La jeune femme n'a jamais manqué de courage et ce n'est pas maintenant que ça va changer. Elle a toujours tout donné pour obtenir ce qu'elle voulait, elle a travaillé dur pour grimper les échelons, et même si aujourd'hui son statut ne vaut plus rien aux yeux de Kumo, elle estime avoir mérité son titre de Jônin. Elle a toujours donné son maximum lors des missions, n'a jamais hésité à prendre des risques inconsidérés au point d'en mettre sa propre vie en danger, et aujourd'hui elle n'a pas changé. Lorsqu'elle a des ennuis, avec Ashitaka, elle se bat avec toujours autant d'énergie. Mais le courage ne se résume pas se battre contre quelqu'un d'autre. Elle se bat également contre elle-même et contre la douleur qui la ronge, qui la rend de plus en plus vulnérable. Et quelle difficulté est plus grande que celle qui est de se battre contre soi-même ?

Extrémisme. Entière, Seiza n'a jamais été capable de trouver un juste milieu, peu importe le domaine. C'est tout ou rien avec elle. Elle n'a jamais aimé devoir se modérer quand elle avait envie de faire quelque chose, ni même se forcer lorsqu'elle n'avait pas envie de faire quelque chose. Tantôt active, tantôt fainéante, il lui arrive d'être entre les deux mais la plupart du temps elle est ou toute noire, ou toute blanche. Elle ne fera le mélange de ces deux couleurs que si elle estime que c'est un cas d'extrême nécessité.

Justice. S'il y a bien une chose qu'elle ne peut pas voir en peinture, c'est l'injustice. Elle n'est personne pour se permettre de juger ce qui est bien ou pas, mais elle estime pouvoir faire la différence entre le bien et le mal, des notions entièrement inventées par l'homme et qui vont entièrement à l'encontre des forces fondamentales de ce monde : L'Ordre et le Chaos. L’univers est né du Chaos ; la nature, les êtres vivants, sont les moyens qu’il utilise pour tendre vers l’Ordre. Et Seiza, même si elle peut parfois faire des erreurs comme n'importe qui, fait tout pour garder ces deux notions dans un coin de son esprit.

Contradiction. Il y a toujours deux réponses à une question. Celle du savant et celle du poète. Celle qu'on ne veut jamais entendre et celle qui est exactement la même que l'autre, mais qu'on accepte plus facilement. Et Seiza ne répondra jamais à une question importante autrement que par ses deux possibilités.

Dépendance. Seule, la jeune femme n'est rien. Elle le sait, elle a besoin d'un coéquipier pour réussir ce qu'elle entreprend, que ça soit, au mieux, Ashitaka, au pire, quelqu'un d'autre. Elle a besoin de savoir qu'elle n'est pas seule, que quelqu'un la retiendra si elle tombe, que si elle échoue quelqu'un sera là pour reprendre le flambeau. Elle a besoin d'avoir une présence près d'elle. Et depuis plusieurs années, celle d'Ashitaka est devenue essentielle. Alors bien sûr, elle n'est pas toujours collée à ses talons, elle peut passer plusieurs jours sans lui, mais elle finira forcément par ressentir un gros manque et ne pas se sentir en sécurité.

Nonchalance. C'est sûrement, de l'avis de Seiza, ce qui doit énerver le plus Ashitaka. Elle se fout de tout. De ceux qui les poursuivent, du lendemain, des dangers environnants, mais surtout de sa maladie. Elle encaisse les crises douloureuses qu'elle subit et puis plus rien, elle fait comme si rien ne s'était passé. Elle a rapidement compris que les médicaments n'arrangeaient pas sa santé, a arrêté de les prendre et, évidemment, ça n'a pas spécialement plu à son mari mais tant pis. Elle est assez fatiguée comme ça pour se shooter en plus avec des soins qui ne l'aident pas à stabiliser son état. Du coup, elle s'en fout de tout. Elle ne sait pas combien de temps il lui reste et veut juste faire ce qu'elle a envie de faire, dans l'instant, au moment où elle en a envie. Les limites existent pour être dépassées.

Ils ignoraient que c'était impossible...

HISTOIRE
*L'histoire de Seiza est liée à celle d'Ashitaka, donc tout ce qui est dedans a bien sûr été écrit avec l'autorisation de ce dernier.

« Et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant. »

Juste l’instant et les joies qu’il apporte. Ne pas voir en arrière. Ne pas voir en avant. Juste voir ce qui est devant soi et l’admettre, l’accepter, le vivre. Aller à l’encontre du vent, du sens, s’opposer à la raison, aux règles sociales, aux exigences des autres. Plus ou moins proches. Plus ou moins amicaux, familiaux. Une succession de contradictions en marge avec l’égoïsme et la liberté. Une nonchalance du monde à portée de doigt, un simple regard fixé sur l’épicentre de l’intérêt personnel, une rupture avec les conventions et les protocoles. Avancer. S'appuyer sur ce qui a été vécu. Sur ce qui a été fait. Bien et mal. Sur ses forces et ses faiblesses. Ses joies et Ses regrets. Ses remords. Avancer. Et tout abandonner pour s’autoriser le droit de vivre. Pour s’autoriser le droit d’aller à l’encontre de la maladie.

La guerre froide entre les deux familles était déjà déclarée avant qu’on ne découvre la damnation qui rongeait Seiza de l’intérieur. Une maladie, inconnue, incurable, dont avait succombé la grand-mère de cette dernière au cours de sa 47ème année. Autant dire très jeune. Une maladie qui n’a pas calmée les tensions entre les Kudõ et les Mitsuo, véritable mésentente quant aux choix amoureux de leurs enfants. Deux âmes vagabondes aux mentalités complices et aux capacités se complétant dans une harmonie aussi légère que le vent. Si on lui demandait, Seiza répondrait qu’aujourd’hui, si elle n’avait pas rencontré Ashitaka, elle serait déjà morte. Et si on demandait à ses parents, les Mitsuo diraient que c’est cet amour qui a déclenché la maladie de leur fille. Pure connerie. Mais où est le rationnel dans l’amour des conventions et des règles de la société ? Seiza aurait dû épouser qui ils avaient choisi, pour « son bien », pour le bien de la famille et de la préservation du nom, pour le bien des traditions.

Quoi de mieux qu’un examen pour pousser le stress à son paroxysme ? Quelques mois avant que la date de la première épreuve, cet écrit aussi difficile qu’éliminatoire, ne soit annoncée, Seiza avait commencé à se sentir mal. Il lui arrivait d’avoir de courts malaises, des quintes de toux et des moments de fatigue illogiques qu’elle ne comprenait pas. Elle alla bien voir un médecin qui s’occupa d’elle mais quelques jours après les mêmes symptômes étaient revenus. Encore jeune, elle s’était dit que ça allait lui passer et qu’elle n’avait pas à en inquiéter ses parents. C’est ainsi que les jours passèrent et qu’elle arriva jusqu’à son examen Chuunin. Elle avait plus ou moins réussi à masquer ses problèmes de santé à sa famille mais elle sentait que ça s’aggravait. Elle avait néanmoins travaillé si dur pour arriver à cet examen qu’elle décida que ses petits problèmes vitaux attendraient. Ce qu’elle n’aurait jamais dû faire.

C’est au cours de la seconde épreuve que Seiza rencontra celui qui deviendrait plus tard son mari. Elle l’avait déjà croisé à l’académie, l’avait aperçu de temps en temps au village, mais jamais elle ne lui avait adressé la parole. Cela faisait trois jours que la jeune femme pestait contre le temps qui passait à la vitesse d’une tortue et rêvait d’un bain chaud avec des bulles parfumées. Elle avait obtenu un premier rouleau sur les deux que les participants devaient rapporter et le jeune homme qui se reposait en face avec l’objet de sa convoitise en guise d’oreiller la faisait cogiter depuis déjà une bonne vingtaine de minutes. Comment allait-elle le récupérer ? Petit récapitulatif rapide de l’inventaire… Deux kunais et un fumigène. Contre un début d’homme dont on ne sait rien, ça pouvait paraître un peu léger. Mais que pouvait-elle faire d’autre ? Elle était incapable de dormir et pour une fois que sa gorge ne la faisait pas tousser, elle devait en profiter.

Elle avait prit une grande inspiration et s’apprêtait à sortir de sa cachette lorsque l’inconnu se redressa. Les yeux fermés. Seiza haussait un sourcil et restait immobile, l’observant… Se lever et se diriger vers… Rien du tout ? Il semblait tourner en rond. Plissant un peu les yeux, la jeune femme en vint à se demander s’il n’était pas simplement somnambule et quand enfin elle put voir son visage, un sourire se dessina sur ses lèvres. Elle sortit lentement de sa cachette et, voyant que le jeune homme ne réagissait pas, elle en profita pour aller récupérer le parchemin et se sauver avec. Quoi ? La fin justifie les moyens, non ?

La deuxième fois qu’elle rencontra Ashitaka, ce fut pendant le tournoi de la troisième épreuve. Le jeune homme avait appris dieu sait comment qu’elle avait profité de son somnambulisme pour lui dérober le parchemin qu’il avait eu tant de mal à obtenir et il s’était débrouillé pour se retrouver face à elle pendant le tournoi. Autant dire qu’il avait clairement prit sa revanche… Elle avait donné son maximum mais Seiza n’avait pas su vaincre cet adversaire qui semblait avoir gardé une bonne dose de colère et de rancune en lui pour donner une leçon à celle qui serait sa future femme. Le duel se fini plutôt mal pour la Mitsuo qui eut droit à quelques heures d’hospitalisation. Mais après tout… C’était donnant-donnant, pas vrai ? Cela ne l’empêcha pas d’obtenir son rang de Chuunin et elle ne lui en tint pas rigueur.

Au cours des années qui suivirent, et par un concours de circonstances, elle le croisa de nombreuses fois lors de missions et de fil en aiguilles, les deux jeunes gens se lièrent d’amitié avant de pousser leurs sentiments plus loin. Au-delà des limites accordées par les parents Mitsuo… Pile au moment où la maladie de Seiza ne fut plus dissimulable. Le lien avec la grand-mère se fit rapidement mais pour les parents de Seiza, le responsable était Ashitaka, qui avait déclenché la maladie et l’avait lancé sur une pente glissante. C’est à ce moment-là que la guerre froide entre les deux familles se déclencha. Les parents Kudõ acceptaient plutôt bien Seiza mais pour les parents de cette dernière, elle n’avait rien à faire avec eux. De plus, une différence nette se faisait au niveau des âges respectifs. Le père et la mère de Seiza étaient et sont encore aujourd’hui deux shinobis actifs alors que le père et la mère d’Ashitaka sont deux personnes d’un certain âge qui ont raccroché leurs kunais depuis un petit moment maintenant. Qui écouterait deux petits vieux ? La maladie de Seiza étant cachée aux yeux du village, ses parents usaient et abusaient du fait qu’un gosse comme Ashitaka, qui s’occupait plus de ses parents qu’eux ne s’occupaient de lui, ne pouvait se permettre de vouloir une fille d’une famille riche et encore bien active. Convention, quand tu nous tiens…

Peu importaient les avis des familles. Ashitaka et Seiza continuèrent de se voir et de travailler ensemble, accédant avec beaucoup d’effort et de temps au rang de Juunin à force de se porter volontaires pour des missions de plus en plus dangereuses. Ils se complétaient plutôt bien et il était rare qu’ils rentrent bredouille lorsqu’ils faisaient partis du même groupe. Il ne fallait pas grand-chose à l’un comme à l’autre pour comprendre sa moitié et agir en conséquence, profitant des capacités de chacun des membres de l’équipe à leur avantage. Au final, ça plaisait à tout le monde. Famille, amis, supérieurs, compagnons… Jusqu’à ce qu’ils décident que leur vie comptait plus qu’un criminel en fuite.

Ils avaient mis en danger les frontières de Kumo à cause de cette erreur. Cette mission fut leur déclic. A la fois leur condamnation et leur libération. Cela faisait deux jours qu’ils tournaient en rond pour tenter de coincer  un criminel de haut rang qui avait attenté à la vie du Raikage et, en partenariat avec deux autres groupes sillonnant les alentours du village, Seiza et Ashitaka avaient presque mis la main dessus. Depuis quelques années, la jeune femme s’épuisait de plus en plus facilement, mais pas une seule seconde elle n’avait voulu en parler, afin de ne pas être écartée des missions et de l’aide qu’elle pouvait apporter au village. Après un message rapide vers les deux autres groupes pour qu’ils les rejoignent et qu’ils coincent leur cible ensemble, après que ces derniers les aient presque rejoint, tout s’arrêta d’un coup. Il aurait suffi de dix ou quinze minutes de plus pour que les deux groupes soient réunis et qu’ils attrapent ce criminel en fuite. Mais lorsque les deux autres unités arrivèrent, Seiza était au sol, prise d’une violente quinte de toux qui avait laissée des traces de sang au sol, et Ashitaka était auprès d’elle, tentant tant bien que mal de l’aider à respirer. Le jugement fut sans appel. Le couple avait fait échouer la mission. Seiza en cachant sa maladie et Ashitaka en ayant laissé passer sa copine et ses sentiments personnels avant son village. Une erreur qui leur apporta de gros ennuis puisque quelques jours plus tard le village fut attaqué par un groupe de shinobi dirigé par l’homme qui avait pris la fuite. Une attaque qui fit beaucoup de dégâts, de mal, et de morts. Seiza fut condamnée à rester à l’hôpital alors qu’Ashitaka devait, selon le Raikage, « s’estimer heureux d’être démis de ses fonctions et pas emprisonné ». Tous les deux avaient alors l’interdiction formelle de se revoir.

Comment auraient-ils pu rester ici plus longtemps ? Alors qu’elle ne s’y attendait pas et qu’elle tournait une fois de plus dans tous les sens au fond de son lit, une silhouette se dessina sur le rebord de sa fenêtre d’hôpital. Une silhouette qu’elle aurait reconnue entre mille. Après s’être habillée rapidement et avoir pris soin d’embarquer un maximum de médicaments disponibles dans sa chambre, la jeune Mitsuo s’échappa de l’hôpital avec Ashitaka. Elle savait ce qu’il faisait, elle savait où il l’emmenait, elle savait ce qu’elle abandonnait, ce qu’elle risquait, elle savait que leur vie allait être parsemée d’embûches et qu’ils allaient sûrement être traqués, mais peu importait. Après le nombre de choses positives qu’ils avaient apportées à ce village, elle ne pouvait accepter tout le mal qu’on leur faisait pour une erreur. Une seule erreur. Ne pas voir en arrière. Ne pas voir en avant. Juste voir ce qui est devant soi et l’admettre, l’accepter, le vivre.

Cela fait maintenant un an que le couple est parti. Qu’il s’est éloigné de cette rancœur, de cette injustice qui les a forcée à s’enfuir. Ils ne restent jamais au même endroit, ont fini par s’unir dans un petit village neutre et sans ninja, et semblent heureux de leur situation. Mais le mal qui bouffe Seiza de l’intérieur n’est pas partit, lui, et ils savent qu’elle risque de s’éteindre d’un moment à l’autre, sans prévenir. Ils savent qu’en dehors des hommes, du temps ou de leur vie dangereuse, quelque chose d’autre les guette et n’attend que le meilleur moment pour éclater au grand jour et briser tout ce qu’ils ont construit envers et contre tout. Un mal qu’elle a tendance, malgré les remontrances d’Ashitaka, à vouloir oublier et mettre volontairement de côté, comme si le repousser pouvait l’effacer.


« Si tu veux absolument te battre, commence par te battre contre toi-même. »


... Alors ils l'ont fait.


١ PSEUDO : Celestial Delinquent
١ AGE DU JOUEUR : //
١ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Le mail
١ COMMENT TROUVEZ-VOUS LE FORUM ? Honnêtement ? Le design n'est... Pas à mon goût x) Mais ça ne fait pas tout alors on s'en fou. ^^
١ PRÉSENCE SUR LE FORUM : Régulière
١ Votre (vos) personnage(s) préféré(s) dans le manga : Sasori (me demandez pas pourquoi, j'en sais rien ._.)


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Kyoku Kogami
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Fiche du Shinobi
Rang: S
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MessageSujet: Re: Seiza Kudõ ∞ Mighty Long Fall Seiza Kudõ ∞ Mighty Long Fall EmptyMar 20 Jan - 4:22


L'évaluation












× L'heure du jugement est arrivée ♪ ×


Coucou miss bulle bulle , te voilà à une étape charnière, l'avis sur ta fiche :O
Bon, je ne mords pas, n'aies pas peur!
Les +

- J'aime bien ta façon de procéder pour faire la partie psychologique de ton personnage, par point. Je procède également comme ça, ce qui permet une certaine clarté, nous pouvons donc bien saisir ce qui se cache derrière ce joli minois ! Bien joué !

- Les citations, ça peut paraitre con, mais des citations bien choisi et placé amène du punch à un texte, ce que tu as bien fait, encore une fois, bravo !

- J'ai grandement aimé lire ton histoire, la relation avec Ashitaka est très intéressante, j'ai bien hâte de vous voir à l'oeuvre INRP! Je n'ai rien à dire de bien méchant sur le contenu de ton histoire !

Les -

- Tu sembles maîtriser le coté psychologique des choses, style de rp que j'affectionne grandement, cependant tu laisses un peu le coté physique prendre le bord, il y a peu de descriptions dans ta fiche ce qui laisse le lecteur en plan sur ce côté, ce n'est pas si grave car c'est ton style mais fait juste attention dans tes futurs rp à mieux décrire les environs, pour les émotions, c'était cependant très bien!

- Je vais mettre en point négatif même si ça n'en est pas réellement un... Tu fais peu d'erreurs, quelques oublis de virgules, des majuscules random parfois.. Ce n'est quasi rien, sachant que tu peux corriger le tout aisément.


Verdict
Ta fiche m'a plu, grandement, tu as beaucoup de potentiel et je suis persuadé que tu seras une membre excellente, je te souhaite de bien t'amuser parmi nous car tu es officiellement validé vagabond/nukenin de rang B!


La Suite

Maintenant que tu es validé, tu peux enfin passer à la suite des choses! Voici quelque liens qui te seront des plus utiles pour poursuivre ton aventure parmi nous!

-Avant de partir au combat, tu pourras faire ta fiche technique ICI

-Une fois le tout fait, si tu n'as pas de partenaire avec qui rp, tu peux en faire la demande ICI

-Quand le rp sera terminé, tu pourras le faire corriger et ainsi avoir ton expérience en faisant une demande ICI

-Après cela, si tu veux, tu pourras venir te détendre ICI et ICI

-Finalement, si tu as des questions, ne te gènes pas et viens les poser ICI




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