Staz est né au village des artisans élevé par sa mère et son grand père. Il s’agissait de sculpteurs reconnu par le village. Ils sculptaient des jouets pour amuser les enfants ainsi que certains outils pour aider au quotidien des gens du village. Ils ne vivaient que pour le plaisir d’aider les autres. L’esprit de l’altruisme incarné. Le grand père de Staz avait été un gardien du village dans son jeune temps mais il avait tout lâché pour s’occuper de sa fille, la mère de Staz lorsque celle-ci était tombé mère monoparental.

Staz grandit avec une certaine admiration pour les femmes à cause de sa mère qui était pratiquement tout pour lui mais, aussi avec une immense affection pour son grand-père qui ne tarda pas à l’initier à l’art du marionnettisme malgré l’interdiction de sa mère. Même si son grand-père avait toujours été meilleur combattant que sculpteur, Staz tant qu’à lui a toujours été pacifiste mais un redoutable créateur et concepteur de pantins. C’est ainsi qu’il se fit beaucoup d’argent. Lorsqu’il se mit à grandir, il se mit à passer son temps à amuser les enfants avec ses créations et ses fils de chakra.

Lorsqu’à 16 ans un incendie se déclencha dans la maison familiale, il quitta la maison car il vit cela comme une occasion d’y faire sa vie. Il continue malgré tout de pratiquer ses techniques de combats tous les jours afin d’être sure de ne pas « perdre la main ». Il est maintenant garde à la porte de Kiri. Il adore socialiser avec chaque personne qui entre dans Kiri et qui veut bien lui offrir son attention. Si il s'est arrêté à Kiri, c'est grâce à une femme du coin qui a prit soin de le recueillir alors qu'il agonisait aux portes de Kiri. La jeune femme qui le recueilli avait perdu un petit frère récemment qui ressemblait en tout point à celui-ci. Celle-ci, pris le jeune homme sous son bras et lui offrit un toit et de la nourriture à condition que celui-ci l'aide dans ses tâches habituelle. À force, la jeune femme déclara Staz comme étant son frère. Même si Staz n'avait que quelque bases en techniques de combats, le jeune homme ne tarda pas à se joindre à l'école de formation pour en apprendre plus. Il eut des distinctions et ne provoqua aucun problème. Il s'agissait d'un élève exemplaire qui obtenu rapidement le titre de chunin