Il est parfois nécessaire de peser le pour et le contre dans une société éprise par le sentiment de violence ainsi que de conflit. Alors pour se faire certaines personnes sont prêtes à tout pour fuir l'envahisseur, celui qui traine le malheur du monde sur ses épaules et ose le répandre dans les moindres recoins de l'univers. Ces mêmes hommes qui provoquent les guerres pour un simple regard mal placé ou des dictons mal prononcés. Certains affectionnent plus particulièrement cet acte nécessitant à tuer sous les ordres d'un dictateur ou d'un quelconque chef de nation souhaitant soumettre les autres à ses pieds comme de vulgaires chiens. Mais certains ne sont pas de cet avis ...
Les conflits font rage entre la nation des nuages et celle de l'eau. Les morts ne se comptent plus ou du moins, on arrive plus à les compter. Les victimes se font de plus en plus grandes et toute personne apte au combat est bonne à prendre; qu'elle soit d'accord ou non. Pour le Raikage de l'époque, comme ses prédécesseurs, la victoire est plus que primordiale. Elle est une marque de force et synonyme d'honneur,de respect, de dignité. Voilà ce qu'est pour eux la signification du mot victoire. Autour de tout ça, une personne prénommée Hana Luther, refusait concrètement de participer au massacre engendré par le Raikage. C'est alors qu'elle décida de fuir sa nation natale au profit de celle du Fer, voisine de cette dernière. Là-bas, elle rencontra celui qui deviendra le père de ses enfants, un samourai dont l'art du Bushido se transmet de génération en génération, Sekizai Gaido. Au court d'une rencontre, ils tombèrent amoureux et de cette nuit là, la machine était lancé. Sans le savoir, elle était enceinte d'un garçon. Un garçon destinée à arrêter la guerre par le fer de son katana. il serait l'espoir que la paix attend depuis la création du monde. Marié une première fois, Sekizai avait déjà un enfant d'une première femme qui l'a quitté pour un autre après quelques années suivant la naissance de Hokori.
La fin d'une journée d'été approche et alors que la chaleur provoqué par l'astre solaire se fait ressentir, les cumulus se forment laissant place au tonnerre grondant emmené par les lueurs blanches s'abattant telles des flèches témoignant de la colère des dieux. Les mêmes dieux témoins de chaque naissance mettant au monde une prévision héroïque. La brise se lève faisant voler feuilles et matières en tout genre. Les volets claquent contre les murs de bétons et les tuiles s'envolent par la violence des intempéries...
Au fin fond d'une campagne intégrée dans ce qui fera une nation portant les couleurs et détermination qu'est la foudre, une femme met au monde cette dite oracle héroïque. L'homme l'ayant épousé et protégé jusqu'à présent ne la quitte pas une seule seconde en cet instant de bonheur. A l'intérieur d'une sale assombrie par la nuit tombante, les bougies sur le point de rendre l'âme, pour cause d'un souffle extérieur gênant, tamisent la pièce laissant juste assez de lumière aux médecins. La souffrance est la seule sensation que traverse la future mère dans ce moment propice à la suite de la généalogie du clan. Mais la force de conviction de voir un jour l'héritage grandir au sein des siens est plus fort que tout, laissant les dernières forces restantes se décuplées pour voir ainsi ce temps de torture s'achever.
Le temps passe et le déchirement cesse enfin. Le soulagement prend place mais ce court moment de répit est vite rattrapé par l'arriver du nouveau né chargé d'émotion positive. L'oxygène se dresse rapidement dans les poumons de cette nouvelle tête blonde et affiche ses premiers cris de vie.
▬ Il est enfin là, notre bébé ...C'est ce que prononça la femme devenu dès à présent une mère tenant son enfant dans ses bras, déjà calmé par l'apaisement régnant à l'intérieur de la dite salle d'accouchement. Sekizai, le père biologique s'avance vers son fils et sa femme, les serrant dans ses bras leur donnant tout son amour. Ce jour là, il grimpa en haut d'une colline pour témoigner au conseil qu'avait formé leur village quelques années auparavant afin de faire le serment qu'il protégera sa progéniture au péril de sa vie. Sa famille étant la seule chose comptant à ses yeux, il se devait de les préserver du mal constant et présent en ces temps de guerre ...
Le tonnerre gronde éternellement et réveil le bébé toujours dans les bras de sa mère. Malheureusement pour elle, le cordon ombilical n'était encore coupé que le jeune nourrisson l'agrippe et tire dessus afin de trouver un certain repère au sein de ce monde. La mère hurlant de rage demande à son mari, dépassé par la situation, de couper ce "satané" cordon, afin qu'elle puisse se reposer en paix, sans qu'elle puisse se retrouver en sang avant la fin de la nuit. C'est de cet incident que vint le prénom de Musashi, réputé dans le clan Gaido comme étant la plus claire définition afin de clarifier l'idée de bêtise. Et c'est aussi de cet incident que naîtra une folle envie qui fera sa renommée, introduire son doigt un peu partout.
En ce jour de premier Aout, un héro est né. Enfin, seul l'avenir nous le dira ...
Les années passaient et le jeune garçon se développe comme un enfant de son âge. Les problèmes n'atteignaient pas la famille, du moins pas pour l'instant.
Musashi de son nom L. Gaido fêtait sa quatrième bougies un jour d'été entouré de ses proches. Mais quelque chose perturbait la mère shinobi. Ses talents de senseur l'avertissaient du mal venant et de ce fait, sa réaction ne se faisait pas attendre. Elle prit son plus jeune enfant dans ses bras et demanda à sa famille de fuir le plus loin possible: la guerre arrive. Mais il était trop tard, des ninja de kiri avait entendu dire que ce village abritait d'ancien shinobi des nuages et voulait mettre un point d'honneur à l'exécution de ces derniers. Comme un avertissement au Raikage. Les conflits n'allaient ils jamais cessés ? En ces temps, surement pas ...
Ce jour là, la petite famille échappa à la catastrophe mais se retrouva hors de son village peuplé uniquement de shinobi et intégra un village de samourai. Il faut dire que dans cette période, les shinobi était vu comme des profanateurs de malheurs, les inquisiteurs du mal, ceux qui amène la guerre. Et donc, Hana n'était pas la bienvenue. Mais son mari la défendait en proclamant son appartenance au clan des samourai. L'un des fils fût accepté l'autre non. Né d'un samourai et d'une shinobi, l'enfant était surnommé le bâtard. Provoqué par la méchanceté et éduqué par l'amour de ses parents, il décida de s’entrainer au Bushido et au ninjutsu. Combinant son héritage, il était sûr de faire la combinaison parfaite.
C'est alors que commença des années d'entrainements, consistant à maitriser les deux arts les plus anciens du monde, afin de montrer au peuple paternel qu'il fait partie de la même famille et au peuple maternelle qu'il est celui qui amènera la paix en ce monde.
▬ JE VOUS LE JURE !.....................................................................
L'hiver entre en saison et les premiers flocons commencent à tomber sur la douce herbe polie par les pluies torrentielles de l'automne. Les cerisiers mûrissent et éclosent leurs plus belles fleurs colorant les plaines blanches au sentiment d'infinie, d'un rose pâle émerveillant cette époque glacière meurtrit pas les conflits et le sang. Un arrière plan apaisé par la tranquillité de la neige, faisait du petit peuple qu’était les Gaido, une famille heureuse et agréablement installée dans son élément.
Le jeune Musashi vient de célébrer ses 6 ans et nul ne doute ô combien d'âmes innocentes sont passés entre ses mains. Les guerres opposants de nombreux clans ne se faisaient nullement rare dans ces régions hostiles à la frontière du pays. Mais aucuns habitants du village ne se doutaient des événements des prochaines jours ...
L'enfant sortait jouer avec son frère aîné, profitant de ces périodes enneigées afin d'oublier les drames survenues au cours des derniers mois. Modelant la neige de toute forme, ils se construisaient de grandes forteresses précédant l'arrivée d'une nouvelle bataille. Leur mère Hana était à la fenêtre de la demeure familiale, jetant un regard protecteur aux activités de ses enfants. Un thé bouillant entre les mains, elle se désaltère. Rejoignant ses fils, Sekizai le chef de famille se joint à la fête balançant boule de neige et autres formes glacés sur le dernier né.
▬ Oyaji-san ! Ce n'est pas juste pourquoi de mets tu avec nii-san ? C'est de la triche ...Leur joie était partagé mais le jeune Musashi détesta ses aînés sur le moment. Ils voulaient simplement l'embêter pour fêter sa sixième bougie, tout simplement. Mais cette joie de vivre laissa place à l’insouciance et la peur, lorsque trois hommes vêtu de drapés beige, apparurent miraculeusement au beau milieu du jardin, terrain de jeu actuel d'une famille heureuse. L'un d'eux s’avança soudainement vers le père et lui demanda un entretien privé devant se poursuivre à l'intérieur de la maison. Ni une , ni deux, il s’exécuta et demanda aux deux enfants de rester sage quoi qu'il pouvait arriver. Ce qu'ils lui promirent.
Impatient mais à la fois curieux, les deux jeunots s'empressèrent de grimper à la fenêtre afin d'observer les propos s'échangeant entre les deux parties. Soudain celle qu'ils appelaient mère-poule sortie un kunai, transperçant l'un des trois hommes à la gorge tout en repeignant les murs avec son sang. Une explosion retentit au milieu du salon, les deux rejetons se retrouvent expulsés par le souffle emportant la toiture avec elle. Inquiète pour ses bébés, la mère leur demanda de fuir et de ne pas regarder en arrière. Un regard à leur père, ce dernier confirma les paroles de sa femme. Le choix n'y était plus, le danger était revenu à eux et il fallait de nouveau le fuir. L'ainé prit son rôle à cœur, emportant son petit frère au dessus de son épaule, ils finirent par disparaitre dans la foret voisine. Au loin, les cris transperçaient les frontières témoignant de l'horreur qui venait de se passée. Musashi se débattait et finit par se libérer de l'entrave, rebroussant chemin voulant rejoindre ses parents. Mais il était trop tard. Leurs corps gisaient dans le sang, arme encore à la main. Dans un dernier souffle, le père s'adressa à son petit dernier, lui confiant son katana. Un genoux à terre, le garçon écouta attentivement.
▬ Mon fils, prend ce katana, il est mon héritage et aujourd'hui il devient le tient. Ta mère et moi sommes fière de ce que tu es devenu. A six ans tu es déjà la fierté de la famille. Hokori, veille bien sur ton frère veux tu ? Maintenant fuyez mes fils, ne cherchez pas à nous venger ...Partant, l'héritage en main, les deux têtes blondes devenues désormais des hommes par l'art de la guerre mais se jurèrent de ne plus fuir face au danger. Dès à présent, ils le braveraient ensemble et coûte que coûte, ils en ressortiraient vainqueur. La loi doit être appliqué et la justice rendu, tel sera leur nindô.
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Les années passaient et les deux jeunes ninja devenus maintenant des hommes parcouraient le monde à la recherche de prospects faisant sujet de futurs renégats associé à la liberté de ce monde. La volonté de Hana et Sekizai ne resterait pas en vain et ce tant que leur progéniture seraient en vie.
Le groupe prenait de l'ampleur et les enflures qui s'y opposaient périssaient d'un coup de lame.
« L'esprit, me disait un homme d'esprit, ce n'est que la bêtise en mouvement ; et le génie, c'est la bêtise en fureur. »Qui a dit qu'on ne pouvait pas s'amuser en tant de guerre ? C'est par cet incident d'il y a quelques années que Musashi s'est interdit d'être triste et froid. Désormais il serait maitre de ses émotions et ne ferait plus les erreurs de son passé. Malgré sa mal-adresse inné ... Malheureusement, les paroles de travers et les conneries incalculable lui mettaient bien des personnes à dos. Alors il décida de dissoudre son organisation au plus vite, avant qu'il leur arrive du mal. Plus personne ne devait souffrir par sa faute. Ses parents, parce qu’il est un bâtard de race, des amis par manque de délicatesse. Rien ne lui réussit alors il décida de faire route en solitaire. Un enfoiré, voilà ce qu'il pensait de ce qu'il était, une erreur de la nature. Mais son frère le remit très vite sur le chemin de la lumière, en l'encourageant à se battre pour ses convictions. Car c'était vrai, on peut tous avoir un coup de mou mais on ne doit pas sombrer dans les ténèbres de cette manière, pas aussi facilement. C'est alors qu'il se remit d’aplomb et débuta une nouvelle vie.
Plus rusé, plus drôle, plus irresponsable, c'est de ce jour qu'il devint le nouveau Musashi. Les shinobi du monde entier allaient idolâtrer l'homme qui deviendra un jour, le sauveur de ces terres. Un homme brandissant le drapeau de la victoire, celui de la conquête. L'homme deviendra grand et assouvira son courroux sur quiconque s'opposera à lui. Désormais rien ne pourra l'arrêter....
Quelques temps plus tard, l'homme s'est trouvé un faible pour les femmes se faisant traité de pervers notoire par son frère et par ... à peu près tout le monde. L'homme est désormais accro à l'argent, depuis qu'il a gagner une loterie de quelques ryos. L'homme n'avait pas l'habitude de gagner, il faut le comprendre. L'homme est toujours aussi abrutit. Par exemple, l'homme a fait échoué une mission d'infiltration au sein d'un camp ennemi à cause d'un pet. Oui d'un pet. Son excuse ? "J'avais envie d'en lâcher une, sinon mon calbute aurait changer vilainement de couleur." Quel crétin j'vous jure. Mais l'homme reste fier à ses principes et ses convictions et ça c'est le plus import....
Voilà, c'est la fin de notre petite histoire. J'espère que ça vous aura plus et excusez moi encore si je vous l'ai mal racontée. Mais j'dois aller rejoindre Musashi dans un club libertin. On doit parler affaire *AHEM*.
MUSASHI !!!! Ne saute pas nu dans cette source d'eau chaude, 'y a des enfants qui s'y baignent !!!!!!!- Extrait d'un RP:
« C'est en cherchant bien qu'on trouve son butin ? Et bah on dirait bien que l'crétin qu'a dit c'te merde était un philosophe de mes couilles qui ne va pas tarder à recevoir mon pied sur sa gueule car ça fait MAINTENANT plus d'une heure que je cherche un truc qui n'existe pas ! On m'a dit que dans cette région, 'y aurait d'l'argent à s'faire et je trouve quoi ? Des ruines ! Super, youhou ! On est content tout le monde lève les bras et on dit bravo à l'enflure qui nous a balancé ce mytho de merde !!!!
Ouais j'suis énervé et bah quoi ? Vous aimez ça qu'on vous entube vous ? J'peux te dire que la quenelle j'la sens bien passé et comme il l'faut ! Ralala j'te jure... J'vais m'calmer ça ira mieux ... Parceq'.... QUOIII ?! Attends voir ! C'est pas la BOUTIQUE dans laquelle j'devais trouver mon contact qui est au bout de la rue, complétement détruite ? Mais si c'est elle ! Oh put# de m****, j'vais niquer le f**** de p*** qui a sacagé cette ville ! »
Voilà ce que pensait Musashi de cette journée qui venait de commencer. Tout allait bien dans le meilleur des mondes et il a fallu qu'un étranger lui vende des bobards pour le mettre en rogne. Car oui, le jeune homme venait de dépenser des ryos pour ces informations. Mais un début de journée dans une bonne gueulante n'est ce pas merveilleux ? Oh que si. Et vous ne pouvez pas dire le contraire. Crier sur le monde, l'insulter, haïr les personnes d'hier et celles de demain. Quoi de mieux ? Libérer sa conscience il n'y a rien de tel. Avec un bon saké et vous pouvez commencer la journée sur les bons rails. ▬ l'abus d'alcool est dangereux à la santé. à consommer avec modération ▬ Oui je fais aussi de la prévention. Narrateur n'est pas mon seul métier. Enfin bref, reprenons là où nous en étions.
Notre héro s'aventure donc dans cet ensemble de ruines où il devait trouver un homme pour se faire de l'argent facile. Malheureusement, vous connaissez là situation. Des pierres, des poutres de décombres et au milieu de tout ça, un con. Ce même con cherchant désespérément la moindre pièce d'or dans les débris mais rien ne voulait aller dans son sens dirait-on. Ce qui provoqua un coup d'pied dans la première chose qu'il voyait. C'est à dire un pare-pin qui lui explosa l'orteil. Et vous savez quoi ? Les insultes fusaient de plus belle. Il avait une de ces rages, j'vous en parle pas.
Quelques minutes plus tard, il empilait les bouteilles de saké et les amuses gueules dans les ruines du bar. Plus rien ne pouvait l'emmerder à cette heure ci. L'alcool le rendait heureux et le coupait de tous ses problèmes. Un avantage pour un homme à problèmes. C'est des caisses entières qui finissent cul-sec dans son gosier tout comme la réserve de bouffe garnit pour plus de deux semaines. L'ogre était en place et les fourmis se faisaient écraser comme de vulgaire insectes. Bah ouais, c'est déjà des insectes les fourmis. J'ai jamais compris ce proverbe... Mais bon des proverbe à la con on pourrait en parler toute la journée.
Gargouillement et mal de ventre se faisaient ressentir demandant le plus vite possible un ticket pour le grand bleu. Et en trouver, allait être difficile. Alors il grimpa sur les hauteurs de toits et observa l'horizon. Juste quelques secondes et il trouva. Deux vieilles planches de bois qui avaient survie à ce qu'il s'était passé (surement un ouragan) tenaient debout au milieu de nul part. Tel un lion sautant sur sa gazelle; ouais je sais c'pas top comme comparaison, il s'empressa de se dissimuler derrière la porte et trouva une cuvette à demie cassé au dessus d'un sceau. Fallait s'en contenter mais c'pas ça qui allait le gêner. De toute façon, il avait bien trop envie de chier pour se poser ce genre de question.
Les bruits de bombes à gaz et de crache d'avion sombraient dans cet océan jaunâtre résonnant dans une ville fantôme. La moindre personne à moins d'un kilomètre allait l'entendre, alors fallait pas attendre. Les deux mains accrochés sur la cuvette, le trou d'balle ouvert à fond les valves, il finissait son affaire mais quelqu'un voulait l'faire taire.
« Allez montre toi stupide insecte ! Le jugement de t'es crime approche. Je suis ton bourreau. Kagami. Uchiha Kagami du prestigieux clan de Konoha. Réponds de t'es acte, et rejoins les abysses. »
Un connard venait l'déranger pendant qu'il coulait un bronze. Une dernière sa réaction et il allait lui faire connaitre sa réaction.
« Ouais cinq minutes. Vous permettez, j'fini ! Oh putain, cui'là il va prendre cher !!!! »
Remettant son froc, il sort de son trou et pose son regard sur l'individu, à demie ouvert, encore sous l'émotion de ce qu'il venait de se passer.
« Ouais, c'pour quoi ? Si vous v'nez pour les gaisha désolé mais 'y a plus personne ici ...»