Sujet: END • Un nom de Titan pour un destin pacifique. Lun 9 Fév - 19:57
"PERSES SENJU"
• NOM : Senju
• PRÉNOM : Persès
• SURNOM : Aka | L'indomptable | L'implacable | Le leader de la Paix.
• AGE : Fin trentaine.
• SEXE : Je suis blanc... Ah, ça? C'est masculin.
• VILLAGE : Konohagakure no Sato.
• RANG SOUHAITE : Nettoyeur officiel de l'Académie Nationale de Konoha | Chef du clan Senju | Hokage
• NINDÔ : Mieux vaut vivre un jour comme un lion que cent ans comme un mouton. • AFFINITÉ : À voir en fonction du balai que l'on me fournira.
• SPÉCIALITÉ : À voir en fonction du balai que l'on me fournira.
The wisdom is read on the face
- « Jamais la psychologie ne pourra dire sur la folie la vérité, puisque c'est la folie qui détient la vérité de la psychologie. »
Puissant | Oui, vous pensez peut-être que cette qualité serait préférable au niveau de tout ce qui est description physique, vous n'avez pas totalement tort. Car en effet, son corps plus qu'athlétique affirmerait cette idée. Mais dans ce contexte, c'était tout autre chose que je voulais évoquer. Outre le fait que sa voix porte et ainsi, peut-il, avec cette même voix, affirmer sa volonté, la puissance d'une idéologie forte est encrée dans sa tête. Voyez-vous, les idées qu'il a pour son village et venant en grande partie de son clan, font de lui un commandant digne de son honneur. Mais c'est aussi un mental de fer inséré dans un corps en acier. Ne pensez pas une seule seconde à torturer ce grand gaillard pour lui soutirer quelques informations, car vos efforts seraient vains. En effet, éduqué dans une famille soudée et ne laissant personne sur le bas côté de la route de la vie, il ne peut trahir ce qu'il porte dans son cœur. Son village et son clan. Et c'est surtout sa "famille" qu'il affectionne, car oui, les villageois de Konoha sont un peu ses "enfants" - même si certains d'entre eux sont bien plus âgés. Le fait d'avoir cette idée d'un village soudé et respectueux entre les membres, rend heureux son Hokage. Un jour, un grand homme a dit qu'un leader devait se défoncer pour son groupe, il devait être le premier bouclier afin de protéger ce qu'il possédait. Et c'est dans cette optique qu'il fonda un caractère têtu et favorisant le bien de son village à son bien lui-même.
Mature | La maturité est une chose que peu de gens peuvent en voir la définition. On dit parfois que la maturité s’acquiert avec l'âge. Mais je pense personnellement que celle-ci se développe en fonction des situations que nous sommes confrontés dans la vie. La vie est simplement une chose intangible qui nous fait développer toutes sortes de sentiments. Et ces sentiments, Persès a goûté à chacun d'eux. Non pas qu'il a pour vocation de découvrir tous les sentiments que peut avoir un homme, mais il a simplement été forcé de les découvrir, parfois à contre cœur. Mais cette épreuve lui a permis d'être ce qu'il est maintenant. Il a une mentalité qui se fonde dans ses souvenirs. Il a tellement vu de chose qu'il a pu en ressortir le meilleur, malgré tout. Il a connu la famine, la dépression, la guerre, la mort. Mais aussi l'espoir, la joie, l'excitation, la vie. C'est un contraire dont les liens sont présents. Mais un homme ne peut atteindre un rang aussi élevé et une notoriété aussi forte avec une mentalité jeune. Une telle personne doit pouvoir réagir à toutes sortes de situations et ne pas paniquer face à l'adversité. Mais surtout, connaître l'existence d'un monde en apparence bonne. Et c'est dans cette catégorie que la maturité entre en jeu. La maturité est un peu l'étape dans lequel l'organisme a atteint son plein développement. Ainsi, dans n'importe quelle situation, le cerveau pourra s'y adapter et ainsi envoyer les bonnes informations au reste du corps. Trop complexe . Bon, après tout, vous comprendrez quand vous verrez.
Sage | Non, il n'est pas celui des Six chemins, même s'il s'en rapproche au niveau du charisme. Et non plus, on ne parle pas de cours ici, il dormait pendant ses études, donc il n'a pu avoir un trait de sage ou de rebelle en salle. Ici, c'est avant tout le trait qu'on pourrait donner aux anciens. À ceux qui ont vécu un nombre innombrables de situations et qui en ont sorti soit le meilleur, soit le pire. Mais certains d'entre eux en ont sortir, ce qu'on pourrait qualifier, de semblable à la nature humaine. Tout ce qui nous forme, tout ce qui nous entoure et qui nous arrive. Et c'est dans ce point-là que Persès a su fonder son trait de "sage". Il a vécu de nombreuses péripéties, a emmagasiné de nombreuses histoires pour fonder un point de vue propre à ce monde. Il est dévastateur, c'est une planète emplie par la guerre et les morts. Mais il a su tirer une seule chose dans tout ça. C'est une chose intangible que tout le monde a en lui, quiconque ne peut y échapper. C'est l'espoir. Petit en son mot mais grand en ses valeurs. Elle permet à quiconque de rêver d'un monde meilleur, de continuer à vivre ce jour-ci en espérant que le lendemain sera meilleur. Les Dieux n'ont rien à faire dans ce genre de chose. Seul l'envie de jours joyeux est la source de cet espoir. Sage par ses idées, mais aussi par sa culture. Il a su travailler ça afin d'arriver à un point où il ne peut tolérer une telle violence. La violence est propre à l'homme et il ne peut y échapper, c'est dans nos gènes. Mais une violence bénéfique n'est autre que la meilleure des défenses et des situations. Et c'est dans cette optique, de tolérer plusieurs choses et de pardonner tant de personnes qu'il créa ce village dans l'espoir, d'un futur pacifique et durable.
Têtu | Ce trait de caractère est quasiment impossible à classer. Serait-ce un défaut ou bien une qualité? Certains préfèrent choisir la première proposition tandis que d'autres défendent la seconde. Personnellement, je ne le placerais dans aucune des deux. Même si la seconde possibilité serait la meilleure. Car d'un naturel très calme et posé, ses allures nonchalantes rendraient peureuses les personnes ayant besoin de lui et devant lui faire confiance. Une telle personne avec une telle "coolitude" ne devrait-il pas servir les gens dans des bars ou les faire rire dans des spectacles? Non. Que choisiriez-vous entre un dictateur cruel envers son village et ses habitants, et un homme doué d'un sens de la parole simpliste, d'une allure pacifique et d'un amour aveugle envers sa patrie? Merci. Je n'attendais pas de réponse, mais à part si vous êtes sadique, je connais déjà la réponse. Mais dans tout ce mélange d'un être "sage", il faut bien y mêler un peu de défaut. Sachez une chose, il ne laissera jamais passer une occasion de préserver ou de concevoir une paix durable, c'est un fait ancré dans ses veines. Ne pensez pas non plus tenter de le contredire. L'expression "têtu comme une mule" est bien faite pour lui. Il vous écoutera attentivement et enregistrera sérieusement votre avis mais quand il fondera le sien, il est très difficile à un autre de lui défaire cette idée. Vous direz peut-être qu'il est égoïste, mais vous aurez tort. Car il fonde ce qu'il pense en prenant en compte de nombreux facteurs et surtout ceux de son entourage. Et c'est grâce à ça qu'il a pu arriver là où il est. Il tentera de concevoir et de préserver une paix durable, quelque soit celle-ci, il se combattra jusqu'à sa mort pour la tenir en vie.
Protecteur | Protéger et servir. Ces deux mots sont les propres de nos ninjas. Ils sont la première ligne en cas d'attaque et la principale défense du village. Et c'est ces valeurs que Persès a voulu intégrer dans les mœurs de chacun. Il n'y a pas meilleur trait de caractère que celui de protecteur. Une personne comme celle-ci n'est ni égoïste, ni renfermée. Elle ne peut qu'affronter la vie en face et espérer que son entourage ne manque de rien. Sa dévotion et son amour pour son village, font de cette personne, un homme prêt à tout pour voir son rêve s'exaucer et voir sa création perdurer. Il ne pourrait laisser quiconque toucher à ce qu'il a pu faire naître. Ses idéaux, son envie de se battre, c'était ça qu'il avait fondé pour son village. Ses amis, sa famille, ses enfants, voilà que tout ce monde était sous sa responsabilité. Il était le premier rempart face aux assauts et donnerait tout ce qu'il a pour se battre et ne pas laisser de pauvres innocents tâcher le sol de leurs sangs. C'est un fait ancré dans sa tête, pouvoir affronter ce qu'il y a en face tout en regardant ce qui se passe derrière lui. Après tout, c'est le propre d'un leader. Il ne peut laisser ses hommes à l'abandon et ne peut quitter le navire sans que tout danger ne soit écarté. Ayez confiance en lui, ne doutez jamais de ses paroles ou de ses actes et surtout, si vous avez un problème, vous pouvez compter sur lui. C'est sans aucun doute la dernière personne qui peut vous laisser tomber.
Alcoolique | Ne dites pas ce que je n'ai pas dit. Non, il n'est pas clairement alcoolique. Il aime juste un peu l'alcool. C'est un liquide qu'il apprécie vraiment car elle permet à son corps d'oublier un peu ses soucis et de lui donner un coup de boost. Enfin, c'est ce qu'il dit réellement à toutes personnes lui posant la question. Réellement, c'est simplement un breuvage qu'il a apprécié durant son pèlerinage et qu'il adore renouveler l'expérience de boire cette substance. Le saké est son alcool préféré. Pour vous dire, lors de certains de ses voyages, il porte une jarre énorme remplie de saké, accroché à une corde qu'il tient à un bras. Il peut se permettre de porter autant de poids avec sa force herculéenne. Quelquefois, quand il est dans son bureau ou dans son bar favoris, il possède un immense bol rouge rempli de saké qui possède un poids conséquent, qu'une personne normale ne pourrait soulever. Enfin, j'exagère mais c'est pour vous montrer la quantité d'alcool qu'il peut engloutir et à quel point il aime ça. Même s'il n'en boit que quelques fois, et non habituellement. Voilà la différence entre lui et un alcoolique.
The story of an ambitious
- « Quand tu arriveras à mes chevilles, tu en profiteras pour me faire mes lacets. »
Les histoires. Les comtes. Les mythes. Appelez-les comme vous voudrez mais ces formes de récits nous ont tous été inculqués durant notre enfance. Certaines avaient pour seul but de faire l'éloge de leurs nations ou de leurs villages, mais d'autres ciblaient les grands événements que ce monde a pu connaître. Les héros de ce monde, les "méchants" ayant terrorisé l'histoire ou les bêtes aussi géantes que des montagnes. De nombreux récits traversèrent les époques et le temps, pour ressortir entre les lèvres de nombreuses mères citant celles-ci à leurs enfants. Et c'est dans ces petites oreilles innocentes que ces histoires continuèrent leurs bouts de chemins. L'un des mythes les plus connus de ce monde, qui, d'ailleurs, était l'histoire préférée de notre protagoniste, racontait la création de ce monde mais principalement d'une bête immonde nommée "Jûbi". De son vrai nom "Shinju", il était la bête la plus puissante et la plus démoniaque que ce monde a pu connaître. Sa puissance était telle qu'elle pouvait raser la terre entière. Le monde était ravagé par ses dix queues et la force qu'elles représentaient. En effet, faite de chair et de chakra, cette entité possédait environ dix queues. Certaines sous histoires disaient qu'il pouvait en faire sortir d'autres ou en rétracter celles déjà présentent. D'ailleurs, ni un être supérieur, ni un être marchant sur cette terre à cet instant n'avait conçu ce monde et encore moins les villages. En effet, d'après la légende traversant les époques, c'était cette bête qui était à l'origine de tout ce que pouvait exister, cette bête, qui, maintenant, nous semble irréelle mais qui a semble-t-il déjà existé. On dit aussi que de nombreuses personnes avaient tenté de le tuer ou même de le capturer afin de profiter de sa puissance incommensurable. Mais tous ont échoué sauf un. Et c'est à cet instant, que cette légende fut transmise avec une seconde légende, celle du "Rikudô Sennin". Mais ce récit en est un autre que je ne vous raconterais pas pour la simple et bonne raison que celle-ci ne passionne pas tellement notre protagoniste.
Un monde créé par une bête et détruite par un "homme". Voilà ce que pensait Persès. Quand on lui raconta ces histoires et les merveilles qu'elles possédaient, il s'est principalement focalisé sur les mythes de Jûbi et le Rikudô. Deux êtres qui étaient liés et que pourtant, tout opposait. Pour le jeune Senju, la bête immense avait réalisé une prouesse en créant tout ce qu'il y avait en ce monde. Autant la faune que la flore mais aussi les villages et ses habitants. Il avait certes la puissance pour détruire ce monde, mais voulait-il réellement détruire son monde ? Mais c'est alors qu'à apparut cet homme à la puissance dévastatrice. Il apprit ainsi à dompter cet animal démoniaque et c'est à ce moment précis qu'il n'eut que pour seule idée que de rendre ce monde tout aussi chaotique qu'il ne l'était. En effet, ce n'était plus un monstre qui dévastait ce monde mais neuf. Neufs [putain de] démons aussi hideux que majestueux. Leur taille dépassait aisément les bâtiments des villages, leur puissance dépassait celles des hommes et leurs attaques pouvaient détruire des villages entiers. Alors demandez-vous pour quelle raison devrait-on le surnommer "Sauveur de ce Monde". Un titre qui est totalement l'opposé de ses actes. Mais c'était à ce moment-là que les homes se réveillèrent et apprirent à dompter ces bêtes. La puissance de certaines personnes, parfois alliées à des objets, prirent les choses en mains et terminèrent par capturer ces monstres pour les emprisonner dans des réceptacles humains. Voilà que vint au monde, les Jinchûriki.
Mais laissons de côté les futilités d'un passé lointain pour en revenir au présent. Si vous ne sauriez pas au courant des actualités de ce monde, je vais vous en faire un bref résumé. Non pas pour le simple fait de vous instruire mais pour le poste que je pourvois, n'est-il pas nécessaire de vous rabâcher l'histoire présente de ce monde ? Plusieurs villages venaient à éclore un peu partout en ce bas monde. Les clans régnaient en maîtres sur ce monde, étant d'un nombre conséquent, ils avaient tous des aptitudes et des histoires différentes. Leurs diversités faisait autant une force pour ce monde qu'une faiblesse. En effet, le manque de place et l'envie d'étendre sa domination faisaient de ces clans de vrais bêtes. Ils n'avaient que faire de la mort ou du sang, ils ne voulaient que régner sur ces terres. Et la solution la plus simple pour eux, était de confronter leurs puissances en plusieurs guerres. Tandis que des bébés pleuraient en ouvrant les yeux, des mères pleuraient elles en voyant celles de leurs enfants se fermer. Les actes de barbarie s'enchaînaient et aucun clan n'étaient épargnés. Mais c'est alors qu'un village, prônant la paix en ce bas monde vint à éclore au Pays du feu. "Konoha" était-il ainsi nommé. Ce village a réussi là où beaucoup ont échoué. Deux clans d'une puissance prodigieuse se sont ainsi alliés - chose peu aisée pour des clans - afin de se rejoindre en un seul but. Créer un village dont la paix y serait présente. Mais le chemin est long et encombré d’embûches. Le clan dirigeant ce village n'est autre que les célèbres Senju. Nous ne savons encore que peu sur leur pleine puissance, mais des dires parcourent le monde en leur honneur. Ils avaient à leur tête un chef aux allures simple et gaies, il n'était pas tant difficile à remarquer de part ses vêtements simplistes. Et c'est alors que Konoha, le village caché des feuilles, devint le premier village à prôner leur auto-suffisance. Mais ce village ne fut pas seul bien longtemps, certains clans ayant eu vent de la montée du village caché des feuilles ont voulu faire de même et créer leurs propres villages. Certains avec des idéaux similaires tandis que d'autres avaient leurs propres opinions. Iwa, le village caché des roches ; Kiri, le village caché de la brume ; Suna, le village caché du sable et Kumo, le village caché des nuages étaient les quatre villages ayant impressionné nombres de mondes par leur vitesse de développement. Chacun avec leurs spécificités et dans un environnement totalement différent. Ils étaient tous guidés par un membre de clan, c'était souvent le chef mais dans quelques cas, ce n'était qu'un membre de celui-ci.
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- « Je vise la lune mais je suis trop occupé à contempler les étoiles. »
Le fait que le monde soit un être rempli de millions de bactéries est un aspect très certain. En ce moment, il y a un temps révolu, des clans poussaient comme des champignons. On pourrait en décrire des centaines et des centaines sans s'en lasser. Chacun avait leurs histoires et leurs facultés qui les rendaient uniques. Certains étaient regroupés pour faire le chemin de la vie ensemble tandis que d'autres décidèrent de quitter leur famille afin de vivre en solitude dans un monde peuplé de toutes sortes de créatures. Mais dans toute cette anarchie de différents individus, un clan avait su vivre avec son temps et persister dans celui-ci. Ce clan avait su passer outre les mailles du filet de guerres innombrables exterminant des centaines de personnes. Les Senjus. Amas de muscles et d'intelligence stratégiques, l'idéologie guerrière est encré dans leurs veines. Certes, ils ont constamment fui les confrontations avec d'autres camps, mais ce n'est pas la raison pour douter de leurs compétences. Chaque fois qu'ils devaient s'arrêter pour se reposer lors d'une nuit glaciale, ils avaient constamment conçu des plans de stratégies afin de rendre le camp de fortune totalement sécurisé pour les femmes et les enfants. Ainsi, les hommes faisaient constamment des tours de garde afin de vérifier qu'aucun individu ne puisse approcher leurs bien-aimées et leurs héritages. Parfois, certains brigands avaient remarqué la vue d'une fumée au loin, ainsi, ils avaient eu comme bête idée de piller les voyageurs installés proches de ce feu. Oui, "bête idée". Des flashs aussi rapides que puissants exterminaient rapidement quiconque voulaient s'aventurer en terres Senju. Leurs défenses, leurs rapidités et leurs forces en faisaient des individus dotés des plus puissantes force que la nature a pu donner aux hommes. Si un jour, vous avez la chance de croiser des individus pareils, passez votre chemin. Ou le sang giclera sur l'épiderme d'une planète en proie à la mort.
L'air frais extérieur passait entre la légère ouverture d'une tente de fortune dont un sigle des Senju sur la toile démontrait son appartenance. Au centre d'une terre rocheuse, quelques tentes étaient disposées autour d'un feu de camp encore allumé. Des jeunes enfants jouaient dehors tandis que des femmes faisaient ce qu'elles avaient à faire. Les hommes surveillaient le camp tandis que d'autres se reposaient en attendant leur tour de garde. Mais dans cette tente rapidement décrite au début, une chaleur faisait bouillir l'intérieur. Deux corps dansaient sur quelques draps tandis que la sueur parcourait leur corps. C'était une symbiose entre deux personnes dans un environnement favorisant l’excès d'hormones. Mais aucun des deux amoureux n'aurait pu penser que la conception d'un être grâce à cette partie de jambe en l'air n'allait changer le cours de l'histoire. Kara Senju était la mère du futur Hokage. Elle aura tellement souffert à la sortie de son premier et seul enfant. C'est vrai que, d'après les rumeurs de certains clans, les bébés du clan des Senjus naissaient dans des choux. Était-ce peut-être un mythe ou une réalité? Nul ne le sait, sauf peut-être les cris déchirants d'une mère voulant faire sortir son fils basané. Certes, sa mère l'avait porté pendant neuf mois et l'avait fait sortir en souffrant mais un homme est aussi à l'origine de cette création. Kaïga Senju. Il était si puissant qu'il était aussi respecté que le chef de son clan. En effet, sa carrure imposante aurait fait penser qu'il était le dirigeant de ce groupe, mais l'habit ne fait pas le moine. Il n'était que le fils du chef de celui-ci. Ainsi, la lignée des plus hauts dirigeants du clan allait continuer grâce au nouvel enfant qui venait de naître. Maintenant, ne manquait plus qu'à lui trouver un nom. En concertation entre les deux parents et grâce aux conseils des membres du clan, ils terminèrent par annoncer au reste du groupe, brandissant le bébé en l'air : "Il se nommera... Persès !"
Ce nom était celui d'un Titan vénéré par un groupe de voyageurs qu'avait connu le fils du chef des Senju. Ce nom lui était venu en tête lorsqu'il avait longuement cherché à nommer son fils. Ce "Titan" était l'un des plus puissant de tous, il était au-dessus des autres. Il jouait avec le monde comme un marionnettiste, il était le un Titan vénéré par et aimé par tant de personne. Maître dans l'art de la destruction, c'était l'un de ces caractéristique. Mais dans sa puissance dévastatrice, il était aussi le Titan de la paix. Une puissance phénoménale recouvrant un cœur rêvant de liberté c'était exactement ce qu'il voulait pour sa progéniture. Il savait que sa vie serait formidable pour lui, qu'il deviendrait un chef de clan et un dirigeant d'un groupe. Il savait que l'avenir de son enfant serait florissant. Il allait devenir un homme connu et respecté par le monde entier. C'était ce qu'il voulait pour son fils, sans penser que celui-ci n'allait pas diriger qu'un groupe de personnes, mais une armée entière, un village immense.
Voilà qu'il était né. Il n'avait pourtant pas la carrure d'un futur dirigeant et encore moins celle d'un Senju. Il était plutôt maigre pour son âge. Seulement cinq kilos vingt pour une taille de cinquante centimètres, c'était légèrement plus faible que la moyenne. Mais cette proportion ne put enlever le sourire et la joie qui parcourait l'enthousiaste de ses parents. Ils étaient si heureux d'avoir un petit être à tenir dans leurs bras. Pourtant, ils n'avaient pas l'âge agréé par certaines cultures pour concevoir et élever un jeune enfant. Ils n'avaient seulement que vingt ans, tandis que le chef du clan en avait plus de cinquante. Kaïga n'avait pas suivi les pas de son père et n'en avait fait qu'à sa tête. C'était sans doute la peur de ne pouvoir concevoir une succession, un héritier du clan. Mais maintenant qu'il avait la satisfaction et le plaisir de pouvoir avoir ce petit être qui allait le succéder, il pourrait pleinement vivre sa vie. Pourtant, était-il vrai que son fils pourrait venir à perdre la vie par de nombreuses circonstances. En ces temps de conflits, la faux de la mort est présente au-dessus de chacun des Hommes. C'était un fait. Il fallait vivre avec. C'était tuer ou être tué. Et les Senjus avaient bien compris l'enjeu. Ce monde était dirigé par les plus forts tandis que les plus faibles traînaient au bas de la route la bouche ouverte, en attendant que la mort vienne les prendre. La puissance physique était de mise afin d'avoir un conséquent avantage sur ses concurrents. La musculature peu apparente de ses membres n'en faisaient point des hommes redoutés, au premier regard. Et certains pouvaient penser que la légèreté de leur corps les empêcheraient de résister à des attaques ou bien de donner des coups puissants? Mais quenini. La puissance d'un corps svelte était alliée à des aptitudes uniques. En effet, ils avaient pallié ce point en confectionnant une technique basé sur leur don de la nature. La puissance du bois pour certain tandis que la globalité des membres du clan avaient une force démentielle et une aptitude à la régénération cellulaire extrêmement rapide. Ils étaient devenu des bêtes. Et c'était dans cette optique que Persès allait devenir un puissant dirigeant.
- « Pourquoi aurais-je besoin de voir un psy ? Le monde est mon thérapeute. »
Comme vous le savez si bien, ce monde a été ravagé par les guerres de clans et les morts s'accumulaient de jour en jour. Certains clans disparaissaient même par manque de membres ou par éradication totale de ceux-ci. Les Senjus, comme vous les connaissez maintenant par l'influence pacifique de leur chef - Persès -, n'ont pas toujours été comme ça. Ils ont dû s'adapter à l'environnement dans lequel était ce monde. Ils ont donc dû se défendre mais sans pour autant chercher l'affrontement. Et c'était dans leur force phénoménale de stratégie et de frappe qu'ils ravagèrent des groupes entiers de personnes nuisibles au clan. Et c'est ainsi qu'ils ont réussi à perdurer durant des décennies. Et c'est grâce à cette méthode et à ce talent de se mouvoir dans tous types d'environnement qu'ils ont élevé les jeunes enfants comme le petit Persès. Petit-fils de l'actuel chef du clan, il vouait quasiment un culte à son père et son grand-père. À peine âgé de ses sept ans, il avait déjà en tête l'idée d'être comme eux, de suivre les pas de sa famille. Sa branche familiale était quasiment l'une des seules à maîtriser un art ancestral. L'art du Mokuton. Alliance du Doton et du Suiton, dont le clan est principalement maître, ils ont su en faire ressortir l'une des matières la plus vivante et fragile de ce monde. Et à force de la perfectionner, ils ont su la rendre la plus solide jamais réalisée. Même les flammes, ennemis des forêts, ont peine à réussir à égratigner la paroi boisée de ses racines sortant littéralement du sol. C'était dans cette branche qu'était spécialisé son grand-père. Maîtrise du taijutsu allié à une puissance phénoménale, voilà dans laquelle était orienté, cette fois-ci, son père. Les coups qu'il mettait dans le sol pouvaient faire fissurer la paroi terrestre au point de créer des cratères dignes des plus grosses météorites. Deux styles de combat qui ont été retransmis depuis son plus jeune âge au jeune Persès. À son jeune âge, il savait déjà détruire des maisons en plusieurs coups de poing, moyennant une fatigue corporelle, il était quand même bien jeune. Apprenant à côté l'art aqueux et rocheux, il ne pouvait réaliser au tout début ce que pouvait faire son grand-père, il devait apprendre les bases d'un art qualifié de redouté et difficile à maîtriser. Pour autant, il n'aimait pas spécialement copier les autres et voulait avoir ses propres compétences. C'était donc dans cette optique, qu'il se mit à varier ses entraînements dans l'idée de surpasser sa famille déjà tellement puissante à ses yeux.
Grandissant dans un clan où la famille est primordiale et vitale, il se sentait comme un poussin dans un œuf. Protégé par une coquille et confortable comme dans un cocon. C'était une sensation plus que rassurante pour un jeune garçon plein de vitalité. Différent des autres qui portaient une tunique simple et kaki, lui, il avait comme haut une longue tunique blanche avec des fleurs roses dessus. Elle était nouée par une ficelle en guise de ceinture, afin que celle-ci ne dévoile pas son corps aux personnes le croisant. Il était différent des autres et ça lui allait très bien comme ça. Il pouvait pleinement s'exercer aux entraînements que sa famille lui avait ordonnés de pratiquer afin qu'il puisse être un chef de clan de choix. Vous pensez alors que son enfance était palpitante, mais elle était jonchée de moments de solitude et de tristesse. Il savait de quoi ce monde était fait, il n'était pas crédule. Âgé d'à peine douze ans, il savait déjà ce que l'horizon cachait. Tandis que certains s'amusaient à jouer à des jeux d'enfants innocent et inconscient, Persès fixait les forêts abondantes entourant le campement de son clan. Entre ses troncs d'arbres énormes et cette pelouse verdâtre se cachait des êtres horribles et sans cœurs. Ils n'étaient dignes que par leurs actes barbares et dignes des plus infâmes brigands. Mais dans ce camp Senjû, les attaques étaient moins fréquentes depuis que les assaillants tentant de tuer ce clan avaient chacun d'eux échoué à leur tâche. Il ne fallait jamais douter de la puissance du clan de la forêt. Vous pourriez vous en mordre les doigts ou les racines.
C'était pendant l'adolescence que ses compétences ainsi que sa vie au sein du clan prit un tournant. Il n'était plus un jeune garçon, il avait bientôt dix-huit ans et c'était maintenant qu'il avait de grandes responsabilités au sein du groupe. Il n'était plus un jeune garçon qui rêvait de s'investir et qui jouait à des jeux de gosses. Il avait maintenant une grande taille et une belle carrure pour s'exercer hors du camp. Avide et curieux, il voulait découvrir le monde, plus loin que le bout de son nez. Il rêvait des différentes cultures, des différents peuples et de rencontrer toujours plus de nouvelles personnes. Il voulait voir la réalité avec ses yeux et non seulement penser sans avoir vu toute cette détresse terrestre. Rencontrant maintenant son grand-père, il devait finir par être baptisé par mère nature afin de pouvoir voler de ses propres ailes. Mais surtout, d'avoir un rôle important au sein du clan. Arrivant dans une tente centrale, un peu plus grande que les autres, pour indiquer l'habitat du chef, il avait été invité afin de devenir un "grand". S'avançant vers son centre, il pouvait voir six personnes à genoux, trois sur chaque côté de la tente. C'était les plus anciens du village, ils accompagnaient le chef afin de l'aider à diriger le camp. Et vous devez savoir que durant sa jeunesse, de nombreuses choses se sont passées. En effet, lorsqu'il avait treize ans, le clan fut victime d'une terrible perte. Le chef du clan avait péri au combat face au feu ennemi. Il avait donc perdu son grand-père, un chagrin immense qui l'avait forcé à promettre en son honneur, de continuer à exercer ce qu'il avait reçu comme héritage. Sa connaissance de la puissance du bois. Ainsi, il fallait un nouveau chef, et, évidemment, c'était son paternel qui l'avait succédé. Ainsi, il faisait face à son père âgé d'à peine vingt ans de plus que notre protagoniste. Se positionnant à genoux, il ne tardait pas à recevoir de l'eau sur la tête. L'eau était considérée comme un bien important à la vie de chacun, voilà pourquoi ils utilisaient ce liquide en représentation de mère nature. C'était après cette coiffure gâchée par un liquide transparent qu'un dialecte ancien fut prononcé par les anciens, tous en chœur. Voilà que dorénavant, il était devenu un Senju à part entière et qu'il représentait ce clan où qu'il aille.
La cérémonie restait très courte [comme l'organe reproducteur d'Atra] et il n'y avait aucun spectateur à cet acte. Pour la simple et bonne raison que la guerre des clans était permanente et que les pilleurs profitaient du moindre moment de faiblesse des clans pour les dévaliser de leurs biens. Le clan ne pouvait se permettre d'essuyer une défaite et de les laisser en difficulté. Sortant alors de cette tente, il put enfin se sentir réellement responsable. Maintenant, étant un homme du clan, son rôle était de protéger le campement et de prévenir en cas de menace. Mais aussi d'aller potentiellement chercher des vivres à l'extérieur et de tenter d'unifier un groupe au clan afin de faire toutes sortes de trocs. Pour commencer, il devait rejoindre la seule entrée et sortir du village. Le campement est un endroit situé au centre d'une immense forêt, où les tentes incrustées du symbole des Senju faisaient office d'habitat. Tout autour était disposée une muraille faite de bois très solide où plusieurs membres du clan surveillaient les alentours. La porte principale était davantage gardée car c'était à cet endroit que la faiblesse des murailles était située. Car elle s'ouvrait parfois pour faire sortir des personnes ou les faire rentrer, et faire de même avec des marchandises. Malgré que le clan ne soit pas aussi peuplé qu'un village, la vie à l'intérieur y est prospère. Il y réside un sentiment de paix et de satisfaction totale. Se plaçant sur un rebord aux abords de la porte, il surveillait celle-ci afin que les personnes à l'intérieur des murs soient protégées. Et c'est alors que pendant de nombreux mois voir années, il fut gardien du camp et prochain héritier du trône.
- « Je défie un ermite de jeûner sans donner un goût exquis à son eau claire et à ses légumes. »
Vingt-huit ans. Voilà maintenant plus de dix ans qu'il a acquis l'expérience qu'il devait avoir. Depuis qu'il était devenu un homme, il n'eut d'envie que de voyager autre part qu'entre les tentes de son campement. Non pas qu'il ne se sentait pas bien ici mais sa curiosité prenait une plus grande place par rapport à son envie de rester proche de sa famille. Il avait vécu de nombreuses années avec son clan et il voulait maintenant découvrir plus. Pour revenir dans les bras de sa mère, avec une maturité et une connaissance du monde plus grande. C'est alors que durant ces dix années, il n'a cessé de gagner de l'expérience à travers ses nombreuses missions et ses nombreux entraînements. Sa puissance était exceptionnelle pour son âge. Il avait rapidement pris la place de chef des gardes, une place permettant de diriger la totalité des gardiens du camp. Il était donc dédié à la protection de son clan et à ce que celui-ci ne puisse périr. Mais c'était une tâche d'autant plus pénible et difficile quand un autre clan a voulu lancer une guerre face aux Senju. En quête d'une plus grande notoriété et de davantage de terrain à eux, ils devaient faire face au clan omniprésent dans une forêt immense. La puissance des Senju était réputée sur ce terrain boisé, quiconque l'empruntait savait que ces bois étaient surveillés par le clan de la forêt. Et c'était dans cette optique que le clan le plus sombre, les Uchiha, vint à attaquer de plus en plus souvent les membres du campement. Au début, ce n'était que de petits combats sans grands intérêts. Mais petit à petit, les affrontements devenaient de plus en plus violents et la mort était omniprésente. Persès avait tué un nombre considérable de Shinobi ennemis. Il n'en avait pas spécialement l'envie, car tuer pour lui, lui procurer un sentiment de dégoût de lui-même. Mais il devait protéger sa famille, il avait des responsabilités et devait les tenir. Les nuits, il ne pouvait dormir tranquillement. Des sueurs froides mouillait sa paillasse. Au début, il pensait que c'était la peur d'une attaque pendant qu'il avait les yeux fermés, la peur de voir sa famille périr sous le feu ennemi. Mais petit à petit, il comprenait que ce n'était pas ça. Et il ne savait toujours pas pourquoi il ressentait tout ça. Et c'était dans une idée de pèlerinage qu'il comptait découvrir pourquoi cette sensation le dévorait de l'intérieur.
Il avait prévu de partir quelques jours plus tard. Sa valise était prête, elle était située sur son lit faite de paille. Il ne nageait pas dans le confort, la simplicité lui convenait parfaitement. Pourquoi chercher compliquer quand on peut faire simple? Était-elle l'une de ses phrases préférées. Il avait prévenu sa mère de son départ, ce qu'elle ne comprenait pas. Elle avait pleuré dans ses bras, elle ne pouvait prendre conscience que son jeune enfant puisse voyager seul, dans ce monde empli par la haine et la destruction. Elle voulait qu'il reste avec elle et qu'il continue à protéger le campement. Mais il lui disait qu'il n'était plus un jeune garçon, qu'il était maintenant bien plus fort qu'avant et que s'il résistait aux assauts ennemis, il pouvait résister à ce monde qu'il ne connaissait pas. De longues heures de paroles, de larmes et d'amour. Il ne pouvait partir et laisser sa mère sans explications. Il redoutait tellement la réaction de sa mère, mais encore plus celle de son père. Alors qu'il faisait le ménage dans sa tente, qu'il finissait de terminer les préparatifs et qu'il reçut des au revoir chaleureux de son clan, il appréhendait la réaction de son père. Il était convaincu que sa mère lui avait transmise ce qu'il avait dit. C'était normal, retrouver sa femme en larmes et ne pas lui demander ce qu'il s'est passé, ce n'est pas logique. Alors qu'il sortait tout en tenant une sacoche en bandoulière, il mettait un chapeau "chinois" offert par son grand-père et en partant, il portait la tenue de son clan. Une tenue rouge bordeaux, avec des épaulettes, une protection ventrale et dorsale. C'était toute une tenue protégeant la majeure partie des points vitaux dont l'insigne du clan était assigné sur le col rembourré de mousse. Alors que les portes s'ouvrirent sous son passage, il se demandait pourquoi son père n'était toujours pas venu le voir pour lui dire au revoir. C'est alors qu'il arpentait une route terreuse. Arriver vers une plaine, peu loin du campement mais hors de la vue du clan, un homme au loin, de la même tenue que notre protagoniste lui fit face. C'était son père, le chef du clan.
Kaïga Senju | « Fils, l'idée de te laisser affronter ce monde n'est pas une solution que je peux prendre. Je ne peux te laisser partir du campement. Tu as une famille, des amis et du monde à protéger. Tu as des responsabilités et tu ne peux délaisser ce pour quoi tu es venu au monde. Ta mère m'a expliqué tout ce qui tu lui as dit, je peux comprendre que ta curiosité puisse prendre le pas sur le reste. Mais je ne peux comprendre la raison pour laquelle tu as laissé cette curiosité te dominer. Un puissant clan nous attaque, ils nous veulent la guerre et veulent nous voir détruits. Et tu ne peux partir, tu dois rester. Tel est ton destin. »
Notre protagoniste ne put avoir le temps de réaliser les paroles de son père, qu'il put apercevoir à son ancienne place, deux cratères légers. C'était alors, qu'il réalisa bien trop tard, qu'il fut victime d'un assaut de son père. Son corps flottait dans les airs, tandis que sa tenue cognait contre le fer présent pour lier les pièces de l'armure. Quelques secondes après, son corps heurta un énorme rocher et vint l'exploser sous les coup de poing de son paternel. Tentant de ce relevé, il fut rapidement envoyé au sol par de violents coups de poing. Imaginez la puissance d'un Senju, allié à une vitesse très grande. Le corps de Persès s'enfonçait petit à petit dans le sol qui moulait la forme de son armure. Des crevasses se formaient sur la partie ventrale de son armure et il devait vite réagir avant de mourir sous les coups de son père. Oui, car il avait bien remarqué là, la vitesse et la puissance de son paternel. Cependant, il avait un avantage que n'avait pas son père. Se substituant à une pierre proche de lui, qu'il put toucher avec son index, il était maintenant à quelques mètres de son paternel qui réalisa rapidement qu'il frappa une pierre. Suite à des signes, des racines vinrent à sortir du sol à une vitesse prodigieuse pour tenter d'entourer les membres de son paternel. Mais comme il pouvait s'y attendre, Persès remarqua les esquives exceptionnelles du chef de son clan. C'est alors qu'il stoppa ce qu'il tenait comme signe pour venir de protéger des coups de son père. Après que les racines se stoppèrent, un combat à mains nues s'installait sur la plaine où l'herbe bougeait sous la puissance des coups. Un combat entre deux hommes d'une puissance phénoménale, entre esquives et assauts, les armures en prenaient des coups et ne résisteraient plus bien longtemps. C'est alors que durant un combat de plus d'une heure, les racines et les coups dansaient sur l'herbe détruite par des crevasses énormes. Mais le combat prit fin lorsqu'un chapeau en paille tomba sur le sol. Devant lui, un corps en sang était enfoncé dans un énorme rocher.
Kaïga Senju | « Je pense que tu es prêt à affronter ce monde mon fils. tu ne m'as pas battu pour cette fois, mais j'espère que quand tu reviendras, tu auras la puissance de me terrasser. J'espère que tu trouveras les réponses à tes questions lors de ton voyage. Surtout, ne te retourne pas et reviens-nous quand tu seras prêt. Nous t'attendrons. Sache que ta mère et moi t'aimons de tous notre cœur. »
C'est dans ce discours empli de tristesse et d'amour que son père se mit dos à lui. Du sang coulait de son visage et de ses mains pour terminer sur le sol. Il marchait calmement vers la forêt arborant le contour de cette plaine détruite. Persès était là, la tête vers le sol, il était trop épuisé pour pouvoir la relever. Des larmes coulaient sur ses joues, les perles salées terminaient leur chemin vers le sol. Il avait cette fois perdu contre son père, mais il s'était promis de revenir plus fort. Et de cette fois, prendre sa revanche.
- « Seul repose en paix celui qui meurt oublié. »
Un petit village de commerce où il y faisait bon vivre. Les marchands venaient ici pour vendre les bibelots qu'ils avaient trouvés pendant leurs voyages. Mais il y a aussi d'autres marchands qui sont là tout le temps pour vendre les biens qu'ils cultivent ou qu'ils fabriquent. En s'avançant à travers les nombreuses allées toutes bondées de monde, on put remarquer une bâtisse très grande où un bar y était installé. Sur le comptoir, un homme en tunique rose à fleurs rouges était accoudé sur celui-ci, un bol immense de saké en main droite. Son chapeau chinois en paille recouvrait son visage d'une épaisse ombre, camouflant alors son identité aux yeux de tous. Voilà quelques années qu'il avait quitté son campement natal. Il avait vu en ces quelque temps, la tristesse de ce monde mais avait aussi connu la joie. Quelque peu faible par rapport à la détresse des villages qu'il avait croisés. La sagesse se lisait maintenant sur son regard et sur son visage, la maturité était présente. Il n'était plus le jeune garçon avide d'expérience et inconscient au point de tout faire à la va-vite. Il était fier de ce qu'il était devenu maintenant. Il était plus puissant qu'avant, physiquement et mentalement. Il avait connu l'histoire d'un nombre conséquent de personnes et était passé par toute sorte d'émotion. La colère comme la générosité, la peine comme la joie, la pitié comme l'envie. C'était des paliers d'émotions qu'il fallait franchir pour atteindre le potentiel d'excellence du cerveau. C'était alors qu'il regardait le barman tout en souriant d'un sourire jovial et empli de générosité. Il vint à déposer plus qu'il ne devait payer en remerciant comme il se doit la personne qui la servit. C'est alors qu'il termina son bol pour sortir de cet endroit souillé par les hommes remplis d'alcool. Un homme percutait doucement le futur dirigeant des Senju à la tunique bizarre, s'excusant, à ce moment-là, il ne pouvait savoir que la personne qu'il a percutait, finirait par devenir un des leaders de la paix en ce monde.
Sans le savoir, il allait connaître le sentiment d'admiration. Un sentiment qu'il n'avait pas connu auparavant. Après une longue marche à travers un sol terreux et des alentours montagneux, il atteint un village où des fumées blanches sortaient chacune de différentes cheminées. Les bâtisses que possède ce village sont faites de pierres et de bois, c'était un style très différent de certains villages précédent que Persès avait pu voir. Ces habitats semblaient d'une autre époque et étaient bien résistants. Elles avaient un style rustique et une harmonie dans les couleurs. Traversant la porte gardée par quelques civils en armure de cuir, ils semblaient avoir une faible protection par rapport au nombre d'habitants vivants ici. Il semblait y faire bon vivre, la gaieté se lisait sur le visage des enfants jouant dans la rue. Ce village était rejoint par une route coupant plusieurs montagnes entre-elles. Il était un peu caché par certains regards indiscrets et les habitants semblaient bien y vivre. Ils étaient tous très polies et n'hésitaient pas à dire bonjour au futur chef des Senju. Marchant alors calmement, ses bras étaient recouverts de sa tunique originale tandis que son visage légèrement baissé était camouflé par son chapeau en paille. Il répondait tout de même à ses habitants d'un léger coup de tête. Et c'est alors qu'il se dirigea vers une boutique faisant office d'épicerie. Dedans, il vint à s'acheter quelques vivres pour tenir trois jours. Il se mit ensuite à commander une chambre pour deux nuits dans un petit hôtel de fortune placée au centre du village. C'est alors, qu'il avait décidé de se poser un peu ici avant de reprendre son pèlerinage.
La première nuit passée était très bonne. Aucun bruit nuisible n'avait pu enfreindre notre protagoniste dans son repos du guerrier. Faisant sa toilette et s'habillant assez lentement, il prit le temps de faire les choses calmement et sans se précipiter. Il avait le temps de découvrir toutes les merveilles de ce monde et ne se pressait pas pour aller les voir. Alors qu'il sortait de ce bâtiment, il était bousculé par quelques enfants jouant à un jeu qu'ils appellent "chat". C'était un jeu où l'un d'eux était un "chat" et qu'il fallait qu'il touche tous les autres afin de gagner la partie. Pas trop mal comme amusement. Il était là pour découvrir l'histoire et la culture de chacun des villages et s'imprégner des jeux pour enfants de ceux-ci étaient aussi dans sa curiosité. Tout en se baladant dans cette ville pour voir ses merveilles, il discutait avec certains habitants et certains anciens. L'un d'eux, ayant vécu depuis son enfance dans ce petit coin, lui avait dit que ce village n'avait pas toujours été aussi joyeux. Qu'après que la bête ne soit battue par le Rikudo, c'était de nombreux clans qui avaient tenté de prendre ce petit bout de terre. Des combats acharnés et emplis de haines avaient été perpétrés ici. Des meurtres sanglants, des tortures abominables et des viols atroces. C'était ce qu'avait vécu cet endroit que beaucoup disaient maudit. Mais il y a plusieurs années, cet endroit a été laissé à l'abandon par le dernier clan l'ayant possédé. Un homme d'une grande générosité et d'une grande intelligence avait su faire de ce village, le village qu'il est devenu maintenant en faisant sortir cette histoire de malédiction de la tête des voyageurs. Il avait réussi là où beaucoup avaient échoué. Et cet homme est maintenant toujours le maire du village. C'était dans cette histoire que Persès avait vue en cet homme une grande bonté. Et il avait eu l'idée de le rencontrer afin de connaître sa vision à lui et son idée de ce village.
C'était alors qu'il remercia l'homme au visage détruit par l'âge en s'abaissant légèrement. Le respect envers les anciens était primordial, il y tenait et il avait été éduqué comme ça. Il continua son chemin à la recherche de l'homme tant aimé par ici. C'est alors qu'il découvrit un bâtiment dont un homme d'une grande prestance sortait. C'est donc par toute logique que notre protagoniste vint demander à celui-ci qui était le dirigeant de ce village. D'un sourire joyeux, l'homme répondit qu'il était le maire de cet endroit. Qu'il était celui que Persès cherchait et se présentait sous le nom de Romuald. Un nom inconnu et très bizarre. L'originalité liait autant ce village que le nom de ce personnage. Et c'est alors que notre protagoniste vint à lui dire les raisons de sa venue et la raison pour laquelle il voulait lui parler. Le remerciant de porter tant d'attention à sa personne, le maire vint à prendre sous le bras le pèlerin pour marcher avec lui à travers les rues. Voulant lui décrire comment il voit-il ce village.
Romuald | « Voyez-vous, en venant ici, j'ai vu cet endroit meurtri par un passé douloureux. J'ai vu ses habitants dans un état si pitoyable que j'en avais les tripes retournées. Mon cœur ne cessait de faire des bonds à chaque pas que je faisais dans cet endroit. Et c'était mon devoir de modifier cela. De rendre le sourire à ses habitants et de faire changer la réputation qu'avait ce lieu. J'avais au début du faire réconcilier ces individus avec l'endroit où ils étaient forcés de résider. J'ai ensuite installé une paix dans cet endroit. J'ai pu atteindre la petite parcelle de bonté qui résidait chez eux pour l'exploiter. Au début, nous avons eu l'idée de faire des rénovations dans les bâtiments. Les pierres et le bois étaient abondants aux alentours donc nous en avons profité pour faire un style du bâtiment nouveau. Rendre gai cet endroit était ma priorité. Alors je me suis basé sur l'idée de faire un conseil de dix personnes avec ma voix dans ce conseil. Et j'ai installé une règle à chaque problème. Cette règle s'appelle : "la dixième personne". Lorsque nous devons choisir une loi ou bien trouver une solution, nous nous basons sur le fait que les neuf personnes ont le même avis et que le dixième a l'avis contraire. Et cette dixième personne doit tout faire pour prouver que son avis est la bonne. Et cette dixième personne... C'est moi. »
C'est alors qu'il ne cessa de radoter les idées qu'il avait pour ce village et comment il en est parvenu ici. Ses intentions étaient des plus bonnes et sa vision était des plus parfaites. C'était sûr qu'il était un homme très intelligent et que ses idées étaient brillantes. Persès examina ses paroles avec attention, c'était très intéressant et très instructif. C'est alors qu'il quitta cet homme en un remerciement très long. Après plusieurs heures de discussion, il termina son séjour dans cet endroit le cœur léger et des idées plein la tête. Traversant les portes pour sortir de ce village, il réfléchissait aux idées que l'homme lui avait dites. Il réfléchissait à la vision de ce monde, à ce qu'il avait vu et à ce qu'il avait enregistré. Et c'était à ce moment-là, que le futur village le plus puissant naît dans sa tête.
- « Il est plus aisé, et éminemment plus scientifique, de traquer le passé que d'esquisser l'avenir. »
Milieu trentaine. Voilà un bon moment que les pieds de notre protagoniste ont souillés le sol d'une terre aussi ronde qu'une balle de tennis. Il avait découvert des peuples chaleureux, d'autres hostiles mais il a enfin pu voir de ses propres yeux l'envers du décor. Depuis le haut de sa muraille, quand il n'était qu'un gosse, il ne pouvait que rêver de ce qu'il y avait au loin. Penser de cet horizon en se basant sur sa vie actuelle. Mais maintenant, il en avait vu les faits. Il en avait ressenti l'existence de chacun, les différentes émotions d'un monde fabuleux. La diversité des cultures, des histoires et des passions. C'était en découvrant tout ça qu'il put se dire qu'il avait épousé la totalité des émotions de ce monde. D'une certaine sagesse qu'il avait acquise tout au long de son voyage, il en revint des rêves et des idées plein la tête. Et c'est alors à cet âge qu'il s'est dit qu'il pouvait enfin revenir dans son campement natal. Alors qu'il faisait la route vers l'endroit où il avait grandi, il pouvait remarquer sur le sol des traces de sang. Sur plusieurs endroits, des combats avaient dû déchaîner la haine de deux groupes, voir de plusieurs groupes. Il se disait que la fureur de ces hommes et la conviction de combattre pour leurs idéaux déferlaient sur ces terres jonchées par une brutalité féroce. Plus il avançait et plus il découvrait l'horreur de ce champ de bataille. Mais surtout, plus il marchait et plus il comprenait quel clan avait combattu à cet endroit. Les cratères dans le sol, ces fissures déchirant cette terre et ce sol retourné par des jutsus. Il ne pouvait croire ce qu'il voyait. Mais c'était quand il avait découvert une armure de son clan, déchiqueté par les lames et l'insigne des Senju au sol qu'il put comprendre tout ceci. Des veines ressortaient sur son front, ce n'était pas des veines de colère ni de peine mais de compassion et de dégoût. De lui-même. De n'être pas resté pour combattre avec eux.
C'est au pas de course qu'il vint à accélérer le rythme pour rentré. Il avait en tête, l'idée que son clan a été exterminé et qu'il était le dernier en vie. C'est alors qu'au loin, il voyait les murailles souillées par le temps et les combats. Arrivant aux portes de son campement, il put remarquer que le nombre de villageois avait diminué. Rien qu'au nombre de tentes toujours debout et à l'ambiance plus morbide de ce campement. Ils avaient dû essuyer de nombreux combats et c'est ce qu'il comptait savoir. En s'insérant entre les portes ouvertes par les gardes accueillant leur prochain chef avec un grand sourire, ils avertissaient le reste du campement de la venue de Persès. La foule grossissait devant l'homme au chapeau chinois, alors qu'une femme en pleurs vint à agripper de toutes ses forces le jeune fils de la forêt. Elle ne pouvait écarter ses bras de son corps svelte et il ne prit pas tout de suite conscience de la personne qui l'avait accueilli aussi chaleureusement. C'était la plus fidèle amie de sa mère. Le temps avait dégarni son visage mais celui-ci n'était pas le seul fautif. La prenant dans ses bras et remerciant d'un signe de tête le reste des personnes, il accompagnait celle qui l'avait à moitié éduqué jusqu'à sa tente. De là, elle prenait de longues minutes à reprendre son souffle et à sécher ses larmes. C'est alors qu'elle raconta fébrilement l'histoire qu'avait manqué Persès, l'histoire qui l'avait bouleversée et qui l'avait autant détruite.
Keîka | « Pourquoi es-tu parti? Tu n'imagines pas à quel point cette guerre a grandi. Elle est devenu plus horrible que l'on aurait pu penser. Tu sais très bien que ton père n'avait pas les mêmes idées pacifiques et il était si têtu qu'il n'a pas tenté de se réconcilier avec les Uchiha. Des combats encore plus sanglants, petit à petit, de moins en moins de personnes rentraient au camp. Parfois, nous gagnons certains combats mais nous ne pouvions gagner à chaque fois. Les deux clans essuyaient des défaites et la dernière a été la plus terrible. Elle a eu raison de ton paternel. Un Uchiha avec une puissance démesurée a eu été la dernière personne que ton père a pu voir. Mais tu t'imagines pas à quel point Kaïga a combattu, tu devrais être fier de ton père, il en a tué tellement. Et tu te demandes pourquoi ta mère n'est pas là pour t'accueillir? Elle a tellement pleuré sa mort mais elle t'a aussi tellement pleurée. Elle n'arrêtait pas de répéter pourquoi tu n'étais pas là pour l'aider, pour la consoler et la calmer. Et finalement, elle a tellement pleuré et son cœur s'est tellement déchiré qu'elle n'a pu tenir plus longtemps. Ses derniers mots étaient ton nom et celui de ton père. Elle vous a toujours aimé et vous a aimé jusqu'à son dernier souffle. Et maintenant que tu es revenu, tu es notre nouveau leader. Notre clan en a marre de mourir, de pleurer ses morts. J'en ai aussi tellement marre. Je veux terminer ma vie dans un endroit calme où les oiseaux peuvent chanter sans craindre de voir du sang. C'est à toi de choisir comment sera l'avenir Persès. La balle est entre tes mains. Mais fais le bon choix, je t'en supplie. »
Les larmes ne pouvaient arrêter de se verser sur les joues de notre protagoniste. Il passait par toutes sortes de sentiments. Ce qu'il a vu aux autres lors de son voyage se passait maintenant en lui. La douleur, le chagrin et l'envie de ne plus vivre. Mais il n'était plus un enfant, il prenait conscience de ce qu'il avait entre ses mains. La vie d'innombrables Senju. C'est alors, qu'en remerciant du fond de son cœur cette vieille dame, il se mit à sortir de la tente sans dire un mot. Un cri déchirant sortait enfin de sa bouche, un cri effrayant les quelques oiseaux dans les arbres et qui fit pleurer les membres du campement. Ce cri était empli de haine, de peur, de tristesse, d'amour et d'espoir. C'était alors, que durant les nombreuses semaines suivant cette conversation, il se mit à changer. À devenir responsable et l'expérience qu'il a pu acquérir l'a fait grandir au point de devenir sage. Il se mit à entreprendre un traité de paix avec le puissant clan adverse. Au début, certains étaient retissant envers cette poignée de main et ce formulaire signé. Mais tous se rendirent compte qu'ils avaient la même vision et voulaient la même chose, dormir sur leurs deux oreilles et dans un environnement de paix totale. C'est alors qu'une idée se fonda dans la tête de notre protagoniste. Ne perdant pas de temps à le raconter au chef des Uchiha, ils se mirent à fonder ce qui serait le premier village le plus puissant du pays. Persès avait pardonné le clan qui avait eu raison de la mort de son père, de sa mère et d'innombrables membres de son clan. Mais maintenant, une nouvelle page devait être créée. Une page pour Konoha no Sato. Le premier village à nature pacifique. Et la rumeur d'un village conçu par deux puissants clans se répandit sur le reste des terres. De nombreux clans affluaient et participèrent à la modernisation de la cité. C'est alors, que le premier village majeur fut construit.
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١ PSEUDO : God. ١ AGE DU JOUEUR : 92 ans. ١ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Grâce à un type se nommant "Joke(r)". ١ COMMENT TROUVEZ-VOUS LE FORUM ? Sympathique. Sauf que l'on voit pas assez d'image sur les Senju. ١ PRÉSENCE SUR LE FORUM : Le plus souvent possible. ١ Votre (vos) personnage(s) préféré(s) dans le manga : Mû | Hanzô | Deidara | Nagato | Shino.
Dernière édition par Senju Persès le Dim 1 Mar - 19:16, édité 22 fois
Musashi L. Gaido
Administrateur Le Pervers Notoire
Messages : 106 Date d'inscription : 14/07/2014 Age : 31 Localisation : Attention derrière toi !
Sujet: Re: END • Un nom de Titan pour un destin pacifique. Jeu 12 Fév - 12:51
Oy perses, tu en es ou dans ta présentation ?
Senju Persès
Shodaime Hokage
Messages : 76 Date d'inscription : 26/01/2015
Sujet: Re: END • Un nom de Titan pour un destin pacifique. Jeu 12 Fév - 14:55
Eh bien, tu ne me laisses que 2/3 jours pour la faire? Bien, j'ai encore quelques modules à voir les journées mais elle avance. Je ne pourrais te dire quand je l'aurais finie.
Senju Persès
Shodaime Hokage
Messages : 76 Date d'inscription : 26/01/2015
Sujet: Re: END • Un nom de Titan pour un destin pacifique. Lun 16 Fév - 21:21
Double post pour prévenir que ma fiche est actuellement terminée. Je vous souhaite une bonne lecture.
Au passage, je vous offre un son digne des plus grands.
Kyoku Kogami
Administrateur en chef | The Lost Avenger |
Messages : 382 Date d'inscription : 17/06/2014 Localisation : In your mind.
Sujet: Re: END • Un nom de Titan pour un destin pacifique. Ven 20 Fév - 5:15
L'évaluation
× L'heure du jugement est arrivée ♪ ×
Coucou.
Je vais passer le bienvenu, tu es du staff et je te connais depuis longtemps, ça serait donc assez bizarre. Comme pour tous les autres portulans kage, je vais laisser de côté le modèle habituel afin de bien étaler mon opinion, en abordant plusieurs points pas nécessairement en lien mais bien utile pour avoir un avis optimal sur ta fiche. Bref, tu demandes un bien haut rôle, comme pour tes collègues kage, j'ai eu une conversation avec toi afin de voir tes motivations et plans pour le village, je ne vais rien révéler ici, mais sache que j'aime bien ce que tu comptes faire, le village est entre de bonne-main avec toi ! Bon, on doit parler de ta fiche aussi. Au premier abord, on constate la longueur qui est très respectable, ce n'est pas énorme, mais c'est suffisant pour le rôle demandé. Maintenant, le contenu de cette jolie fichette. On constate tout de suite que ton perso' est un Senju typique : fort, courageux, noble et tout et tout, c'est pas mal, mais ce n'est pas excellent, ça reste dans le connu, c'est correct. Tu respectes cependant sa mentalité tout au long de ton récit, on voit bien la droiture de ton protagoniste, sa grandeur d'âme et de corps, il est un vrai Senju! Il ne semble cependant pas avoir de défaut et ça me chicote un peu, c'est un genre de monsieur parfait, tu cadres bien dans le rôle de Shodai'! x) Bon allé, tu as mis du temps dans cette fiche, ton histoire est bien développée et il y a une suite logique à tout, tu t'intègres bien au contexte, on ressent vraiment l'ambiance de la guerre, ce que j'adore. Niveau qualité de la langue, c'est très bien, ce n'est pas parfait, mais je n'ai rien à redire, les fautes ne sont pas problématiques, le style est simple et efficace, j'aurais aimé peut-être un tantinet plus de fioritures vu le rang demandé, mais bon, ce n'est pas grand chose. J'aurais aussi aimé plus de détails vers la fin de ton histoire sur la fondation du village, l'union avec les Uchiha et tout ça, car le reste de la fiche est super détaillé et ça bah, c'est court. Mais bon, sommes tout, j'ai adoré ! J'ai même mis ta musique, je n'ai pas détesté, ça donnait de l'ambiance à ta fiche. Sans plus tarder, je te donne ton premier oui afin de te valider Shodaime Hokage mec ! Aller, tu vas pouvoir me donner plus de détail dans la fiche de village
Attente d'un deuxième avis vu le rang demandé.
La Suite
Maintenant que tu es validé, tu peux enfin passer à la suite des choses! Voici quelque liens qui te seront des plus utiles pour poursuivre ton aventure parmi nous!
-Avant de partir au combat, tu pourras faire ta fiche techniqueICI
-Une fois le tout fait, si tu n'as pas de partenaire avec qui rp, tu peux en faire la demande ICI
-Quand le rp sera terminé, tu pourras le faire corriger et ainsi avoir ton expérience en faisant une demande ICI
-Après cela, si tu veux, tu pourras venir te détendreICI et ICI
-Finalement, si tu as des questions, ne te gènes pas et viens les poser ICI
Bigboss
Uchiha Kodaî
Administrateur « Leader du Clan Uchiha »
Messages : 22 Date d'inscription : 14/07/2014
Sujet: Re: END • Un nom de Titan pour un destin pacifique. Ven 20 Fév - 20:15
L'évaluation
× L'heure du jugement est arrivée ♪ ×
Pas de bienvenu, pas de bonsoir - leul -
J'ai lu ta présentation depuis deux jours déjà. Je t'ai donné mon avis et je n'ai rien à rajouter à ce que BB a dit. Comme convenu, nous allons faire un RP FlashBack pour détailler la fondation de Konoha et l'alliance entre le clan Senju et le clan Uchiha. Il y a de la qualité, mais aussi de la quantité. Peu de fautes et très agréable à lire. Pas nouveau de ta part
Tu as mon OUI pour le rang S et le titre de Shodaime Hokage. Bon RP parmi nous !
La Suite
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Nab
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Sujet: Re: END • Un nom de Titan pour un destin pacifique.