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Betsumi Chou - En cours -

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Betsumi Chou
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Betsumi Chou - En cours - Empty
MessageSujet: Betsumi Chou - En cours - Betsumi Chou - En cours - EmptyDim 8 Fév - 18:11



僕は別身長さ。


Se nomme : 別身長
- Betsumi Chou
(Chef)

Surnommé : 変視
- Henshinin
[(l'homme au) Regard bizarre]

Vieux de : 23 ans ; un 24 Mai ; à 9:12

Sexe : Physiquement masculin
À vérifier.


Souhaite le Grade : Chuunin
 Et le Rang : B+ (max A)
Où ? à Konoha

Nindô :  ???

Affinités: Fuuton ; Doton

Spécialités : Kekkai ; Ninjutsu


Mental

Je me présente ; mon nom est Betsumi Zenshi. Oui, Zenshi. Non, je ne suis pas le héros de cette histoire. Tu vois ... Permets-moi de te tutoyer, après tout nous pénétrerons ensemble, sans déranger le sphincter, dans l'intimité d'un être cher percer les mystères d'un proche disparu depuis longtemps : Betsumi Chou.
Alors que sa belle vingtaine débutait, grimpant vers son zénith physique – Apollon prends garde ! mon parent franchissait son apogée psychologique ; il se tenait là, plein et entier. C'est plus tard que tout se déglinguerai.

Jamais on ne le notait franchir le seuil. Soudain, aux premiers mots prononcés ... « Depuis quand êtes-vous là ? Une bonne heure, monsieur. Ah ! quand même. » Si on ne percevait pas ses gestes félins, si on ne pouvait qu'ouïr de sa respiration qu'un faible sifflement, comme l'air printanier sous une porte, à travers une serrure dont on aurait ôté la clé, sachez qu'il observait.
Sans mentir, mon ami fut un fétiche guetteur. Son oreille laissait grandement à désirer et son palais n'appréciait aucune saveur en comparaison des phares, rouges, qu'aucun détail, aussi efficacement masqué fut-il, n'avait la moindre chance de s'échapper. Sa vigilance ? Telle qu'elle pourchassait une fourmi, pour ne pas dire un acarien, à des kilomètres à la ronde : le rouge à lèvre carmin sur le revers d'un col, le sang séché sous l'aiguille d'un haut talon, la déchirure de ton pantalon recousue par ta grand-mère  ...
Certes, sans commune mesure avec Sherlock, il n'aurait pu déduire ta profession au parfum que tu emploies, ta couleur favorite aux nombres de tablettes autour de ton nombril ; néanmoins... ! Chou se montrait soupçonneux auprès de chacun, sur ses gardes à propos de tout le monde. À ses dépens, Talion lui a enseigné une leçon. « Mords avant d'être mordu. »
Des nains, Chou distançait Simplet. Il n'agissait ni par hasard ni sur impulsion. Exemple : s'il se montrait agréable, c'est qu'il investissait sa gentillesse ayant prédéterminé ton utilité (en fonction de ses propres besoins). Et si quelqu'un lui demandait une faveur, un service en retour viendrait ; impossible de savoir ni quoi ni quand, mais ce n'était certainement pas pour aller lui acheter des légumes au marché.

Quel génie ! Il savait se rendre indispensable.
Sa ruse améliorait ses compétences au travail. À tel point qu'avant même qu'un ordre ne soit émis, le travail, bim ! accomplis. Ça lui jouait des tours lorsque le dirigeant changeait subitement d'avis, mais il en cachait plus d'un dans son sac. Je l'admire, il savait rebondir quoi qu'il arrive et atterrir sur ses deux pieds sans chanceler. Plus tard, j'ai compris qu'il devait cela à son sens hors-pair de l'organisation. Discipliné, du lever au coucher chaque jour s'articulait finement, des engrenages qu'il aurait lui-même fabriqués et ordonnés. C'est un travail d'horloger d'être aussi pointilleux.

Mon homologue aimait sa routine. Il aimait se rendre au bain à telle heure, déjeuner et dîner à tel moment et méditer en telle occasion. On lui admettait une sérénité cadavérique, au point que Chou devenait méconnaissable lorsqu'une surprise inattendue surgissait – surtout s'il pensait avoir bien tout anticipé.
Heureusement pour ses interlocuteurs, son enseignement monastique lui a appris, après des jours, des mois, des années de pratiques, à se maîtriser, à n'exploser que chez lui, loin des regards. J'ai découvert lorsque je déménageais sa maison des trous rebouchés au plâtre, des papiers arrachés recollés et ce qui semblait être des balles anti-stress usagées. Et pourtant il médite !
Spirituel, ce moine-là a toujours su faire un très bon usage de sa pratique. Il m'a enseigné le vrai pouvoir de la tempérance ; une rivière, calme, mais constamment en mouvement, symbolise tellement l'image que j'ai de Chou, un congénère réservé, solitaire, aux multiples secrets.

« Menteur ! Menteur ! Tu n'es que mensonges ! M'as-tu au moins un jour dit une, et rien qu'une seule, vérité ? »
Loin d'être un enfant de coeur, le péché se définissait autrement que comme l'arbre fruitier. Il était ... Mythomane. Oui, voilà ! Quand la tromperie ne participait que peu à un stratagème (visant à tromper ses objectifs finaux), il lui fallait mentir sur ses origines. S'il ne se trouvait pas être le bâtard d'un riche commerçant, il se sentait le rejeton d'une famille de quinze enfants dont quatorze filles, ou encore le sosie d'un pirate célèbre dont le nom se compose d'une barbe et d'une couleur.
Dans ces cas-là, comment dénouer le faux du vrai ? Comment déchirer l'enveloppe de cette seconde nature ? Effectuer une sérieuse enquête approfondie, si tant est que Chou se révélait être le nom fourni. Et là encore, rien n'est certain. Peu d'éléments déjà à l'époque témoignaient d'un passé. Il fallait se savoir persévérant dans sa curiosité.
Des plans, il en existait indubitablement un. Des plans dans des plans ? Tout le temps ! Des plans dans des plans dans des plans ? Ce n'était pas rare. Et des plans dans des plans dans des plans dans des plans ? As-tu cru que c'était DiCaprio ? Quoi que ...

Sais-tu ce que j'aurais souhaité ? Que mon sens inné du commandement me hérite de lui. Et bien non. On ne parlera jamais assez de sa minutie -plus proche, si tu veux mon avis, du toc de planification compulsive que du bon sens dans l'organisation, du soin qu'il prend pour que le tout vienne en place, à la place qui lui revient.
Cependant, on n'oubliera pas que semblable individu, modeste et sans ambition, n'a jamais démontré le moindre talent dans tout ce qui touche l'autoritaire. Certes il piquait le premier, précisément là où on lui conseillait (vivement) de piquer ; par contre pour te dire, à toi, où planter le dard ... Autant demander à un aveugle de désigner derrière une vitre sans tain, ni romarin, lui-même du mauvais côté du miroir, le plus mauvais mime.
C'est d'ailleurs ce trait de caractère, insensible à la hiérarchie, qui explique pourquoi il acceptait des responsabilités sans en prendre les titres. Ces devoirs, il n'allait jamais les chercher ; ils lui bondissaient dessus puisqu'il était si doué dans son travail. Et appliqué ! et volontaire !

Chou retournait sa veste dès qu'un certain liquide présentait une emprise sur lui. En fonction de l'alcool, le résultat différait. Tu auras sans doute l'occasion de m'entendre les énumérer.
Saoûl, cet homme – du moins ce qu'en dise les papiers – devenait joueur compulsif, impulsif et Sysiphe. Son organisation partant à veau-l'eau, voilà qu'on le destinait à réitérer une tâche ardue en vain. De surcroît, ses muscles prenaient le pas sur sa cervelle et il déclenchait des bagarres en insultant bruyamment à tout va, trop confiant dans ses capacités. Pour finir les paris le dépouillait : un Chou bourré croit qu'il sait jouer. Dans ces conditions, Il fallait lui enlever tout verre à la main ... à moins bien sûr que vous ne cherchiez à découvrir certaines vérités ...

En fouillant dans ses affaires, lui aussi fouinait la vie privée d'autrui, j'ai déterré des écrits. En lisant dans ceux-ci, j'ai réalisé à quel point Chou était fataliste. « Ce qui va être vient de s'en souvenir. » Nomme-le défaitiste, car blasé il aura sans varier été. Toutefois, son négativisme ne l'empêchait pas d'être optimiste sur nombre de sujets : la chaleur fournie dès l'aube par le puissant astre, les couleurs du crépuscule passé l'entre chien et loup, la saveur épicée du prochain repas, la poursuite du cycle après le trépas, ... Chou comptait beaucoup sur le mythe de la bonne étoile. Pieux, le Divin de son siège en nuage allait lui être favorable.
Tout pour lui ! N'ayant aucune attache, mon homonyme voyait dans son égocentrisme une forme de survivance. S'il leurrait son monde, s'il jouait les fourbes et pratiquait l'hypocrisie ... « Tant que ma tâche n'est pas accomplie, je reste sur Terre. Je n'ai pas fini, j'ai besoin de ce jour supplémentaire. » Survivre seul.

Enfin, cela dit ... solitaire ? Point Don Juan, même si des coutumes communes lient aux draps nuptiaux les souillures rougeâtres aperçues à l'aurore ; même s'il désserrait son emprise d'une conquête apprivoisée, pareil au lest qu'on largue dans le dessein d'atteindre les cieux, ce personnage rappelait l'allure de Casanova.
Il accourait, secourait la dam'zelle en détresse, oubliait momentanément ce vieux voeu de pureté et s'affichait flamboyant, preux chevalier. Depuis son départ du monastère, il eut tout le temps de découvrir les joies de l'union physique, de l'échanges des fluides corporelles de tous types. Qu'on est forcement magnifique en public ...
À la maison, en privé, emprisonné de quatre murs, les états d'âmes varient et se bouleversent. La caresse réconfortante peut devenir un soufflet misogyne, un mépris signe d'une peur viscérale de l'engagement. Le sourire rieur et plein de vie peut se transformer en grincement dédaigneux, en jugement superficiel. Le regard généreux de passion peut se teinter d'avarice, comparable aux pupilles vitreuses d'une charogne jadis déjà sans ivresse de vie. Avait-on accès à son être ? Avait-on l'infime fortune d'appréhender un leurre ?

Ce quelque chose d'impénétrable aura été à jamais la source d'une aura mystique. Il sera moins pis de comprendre, tu verras c'est tout aussi folichon ! lorsque je figurai l'enveloppe de Betsumi Chou. Entends-moi, quand bien même tu l'aurais entrevu trancher la tête d'une vierge, perforer au nombril une femme engrossée par un porc, torturer un enfant retardé haut comme trois pommes ou toutes ces atrocités dignes d'un aller direct au purgatoire le moins clément, Chou resterait incontestablement adorable à tes yeux. Quel génie ! d'extraire ainsi de son illimité splendeur intrinsèque sa puissance.
– Séduction Power ! –
Attention ! dans le fond ce n'était pas un mauvais bougre. C'est un membre de la famille, je l'aime et le respecte. Lui aussi d'ailleurs ! a toujours respecté ses proches – quand il en avait. Il t'aurait semblé humain, loyal, raisonnable et plus que tout digne de confiance.
Que nenni, bro' ! Sous la toge immaculée se cachait une pourpre et perfide verge, une baguette de professeur qui n'hésitait oncques à s'exciter, laissant derrière elle la nette empreinte vermillon sur les fesses laiteuses de sa victime. Prends garde !


Physique

Il était nu.
Le linge froissé, blanchâtre, du lit qu'il occupait, étalé et détendu, où tout comme un cadavre de soixante-dix kilos à la rigidité envolée toute sa masse s'y vautrait, couvrait et une jambe peu velue, laissant libre le talon, et les hanches efficientes et sa virilité dont il a par multes saccades prouvé la prépondérance pénétrante ; et je le regardai.
Comment ne pouvais-je pas ? Cet homme, ce mystère envoûtant l'autre sans distinction de genre, nous ne nous étions vu qu'une fois ou deux. Déjà aux premiers mots j'étais conquise. Déjà je m'avançai vers ce corps au torse glabre, au cou fin, à la mâchoire carrée et duveteuse en fantasmant une fois encore de suçoter la profonde dépression de son nombril : Laisse-moi profiter davantage des pores irrigués de cet organe.
Mon bras gauche tentait vainement de cacher ma médiocre poitrine qu'il ne pouvait voir, il dormait. Je découvrai une satisfaction nouvelle : d'avoir plu à une telle âme ! combien de rides du lion me suis-je créée à m'accabler de la sorte ? Je retrouvai en revanche toute la timidité qu'il venait de m'ôter lorsque mon bras droit parvenu à vêtir une robe rouge : « J'aurais juré qu'elle fût blanche à mon arrivée. » Aurait-il ... ?
Pourtant, une de ses mains saisissait le linceul. Elle resserrait son emprise, l'exacte crispation que j'avais ressentie pendant nos ébats ; sur mon sein, sur mes côtes, puis sur mes reins, la main sèche et pâle contrôlait chaque geste. Qu'étrange il est de croire que, aussi durant l'expression ultime du bouillonnement physique, l'artiste domptait jusqu'à son ongle, ne laissait suprématie à aucune divergence bestiale. Pour autant, quel fauve !

J'abordai la couche ; alerté par mon action cajoleuse, brusquement la main contracté m'étrangla. Contrainte à rejoindre le mur opposé, nos visages se firent face, assez proches pour qu'il m'embrassât. Au lieu de cela je vis dans son regard, ma glotte comprimée, l'instinct ... non ! le génie de réactivité d'un corps entraîné dès l'enfance à se défendre. J'étais une menace. Les brunes billes blafardes à demi cachées par sa tignasse châtaigne dormaient encore alors qu'il m'étouffât. Etais-ce mon cerveau qui bourdonnait ou ronronnait-il ?
Une seconde passa.
Ses yeux reprirent vie et son visage blême rosit, l'être cessa de m'égorger. Je m'extirpai de ce cloître pour reprendre haleine, me hurtai à une commode, chutai et terminai ma course descendante contre le matelas ; une bolée de noix diverses (cacahuète, cajou, amande ...), une poignée de fraises, deux poires, cinq pommes et demi et une bouteille de lait frais s'étaient répandues sur le parquet.
Je l'observai à nouveau, cherchant à obtenir une réponse qui n'existait nullement, des excuses qu'il ne me ferait qu'à la saint-glinglin. D'un souffle il réprima le tremblement de la patte assassine et dit : « Tu devrais t'en aller maintenant. » Sa voix suave était chaude, son ton, grave et autoritaire. Lui, un mètre soixante-dix huit, me tournait le dos ; en contre-jour, aucune différence ne distinguait plus l'homme de son ombre, portée sur moi. Cette créature regardait au-dehors comme si elle attendait une chose, quelque truc qui jamais ne viendrait, et, ironiquement, elle le savait.

Autant, dix minutes auparavant, je me voyais encore ingénue capable une fois de plus de lui sauter au cou, quémander le travail de ma croupe, mendier tête en avant et langue pendue pour une semence salée, perdant ainsi tout estime de moi et respect pour mon corps ; autant, la gorge rouge dont j'aurais préféré que la couleur eut été provoquée par un suçon, je désirais fuir, ne plus revenir.
Enfin ... J'aurais dû désirer disparaître.
À la place, je me relevai et enlaçai mon fantôme bâti de chair : « Je veux rester. »
J'avais beau ceinturer cerbère au pubis, la sensation n'était plus identique. Je serrais un impassible feu. Je suffoquais en sa présence. Une pensée me traversa : aurais-je fais quelque chose de mal ? Peut-être qu'une fois qu'il m'a consommé je ne représente plus aucun intérêt ! Aussitôt cette idée de terminer dans le caniveau découpée en six et dégustée par des chiens galeux courrait mon esprit qu'il l'évacua. L'ectoplasme se retourna, prit dans ses mains calleuses ma petite tête et déposa sur mes lèvres de ses indicibles lèvres gercées un baiser.
The kiss ... Biiiiip ! Brain dead ! Sorry for your lost. Were she a donor ?

Ce contact portait à lui seul le rapport que nous venions d'entretenir.
Il retira son bonnet bleu, son veston à capuche gris, le haut marron de sa tenue, ôta ses grolles noires et jeta ses lunettes roses sur la chaise en hévéa. Avec surprise ma main manucurée se posa sur une longue entaille (d'une quinzaine de centimètres) frôlant le téton pointu de son coeur : « Comment as-tu obtenu cette cicatrice ? » Il m'embrassa pour ne point répondre.
Ensuite, par-dessus les nervures d'une épaule gauche d'un presque-digne-culturiste, j'aperçus un tatouage rouge sang : « Ce symbole, que signifie-t-il ? » Il m'embrassa et toute question fût oubliée dès qu'il eut établi de son index et majeur le premier contact avec mon intimité ; Je tétais le lobe libre de son oreille.
Quand mon tour fut venu de posséder le plumard, il lui vînt à l'esprit, précaution prise de nettoyer le plancher des dégâts, de sortir un luth, de prendre quelques instants pour l'accorder et d'engager une sérénade. Pourquoi donc veut-il me séduire ? Je suis déjà dans son pieu. Bien qu'admirative de son talent à la guitare au même titre que de son absorption dans cet art, je jouai des cheveux. Qu'il quitte sa mandoline ! qu'il me considère ! du moins qu'il me propose encore ce massage aux huiles qu'il m'eut fait avant d'implanter un certain manche dans une certaine fente.

Je le quittai satisfaite, sachant avec regret que notre union fut éphémère ; sachant que je ne dégusterai des multiples tablettes et des grenades qu'en fantasme ; sachant la déception que j'aurai de mes prochains amants lorsque je verrai qu'ils n'ont pas sur la fesse droite une marque de naissance en forme de félin zébré. Je l'apercevrai au loin en vêtement d'apparat, de dos en route pour une mission, mais dorénavant plus entre quatre mirettes. Je me souviendrai toujours de la rudesse des omoplates sermonnant la personne qui les voient. Moi, je le regarderai. Moi ...


Vêtements de Betsumi Chou:


Histoire


Nam sole orto magnitudine angusti gurgitis sed profundi a transitu arcebantur et dum piscatorios quaerunt lenunculos vel innare temere contextis cratibus parant, effusae legiones, quae hiemabant tunc apud Siden, isdem impetu occurrere veloci. et signis prope ripam locatis ad manus comminus conserendas denseta scutorum conpage semet scientissime praestruebant, ausos quoque aliquos fiducia nandi vel cavatis arborum truncis amnem permeare latenter facillime trucidarunt.

Nemo quaeso miretur, si post exsudatos labores itinerum longos congestosque adfatim commeatus fiducia vestri ductante barbaricos pagos adventans velut mutato repente consilio ad placidiora deverti.

Et quoniam mirari posse quosdam peregrinos existimo haec lecturos forsitan, si contigerit, quamobrem cum oratio ad ea monstranda deflexerit quae Romae gererentur, nihil praeter seditiones narratur et tabernas et vilitates harum similis alias, summatim causas perstringam nusquam a veritate sponte propria digressurus.

Ut enim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit. Quid enim? Africanus indigens mei? Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae.




١ Prénom : Maxime
١ Âge : 21 ans
١ J'ai eu vent du forum par ... Un BB
١ Le forum ... A un potentiel
١ Présence : 45%
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Shodaime Mizukage
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MessageSujet: Re: Betsumi Chou - En cours - Betsumi Chou - En cours - EmptyDim 15 Fév - 13:57

Bonjour,

pas la peine de demander des nouvelles à propos de ta présentation, nous avons une justification de ta part, je post pour prévenir mes collègues (anti-up).
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Seiza Kudõ
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MessageSujet: Re: Betsumi Chou - En cours - Betsumi Chou - En cours - EmptyJeu 5 Mar - 20:27


Bonjour. Es-tu toujours présent ? Si je n'ai pas de réponse avant lundi soir, ta fiche sera archivée et ton personnage supprimé. Dans le cas contraire, nous verrons pour un ultime délai. Merci de ta compréhension. bulle
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