En rapport avec son caractère, le style vestimentaire d'Eiko est pour le moins singulier sans réellement aller dans l'excès. Il n'apprécie nullement de s'encombrer d'une longue garde robe. Cela venant du fait que l'homme passe une grande partie de son temps à voyager aux quatre coins du monde. Vous le verrez donc généralement vêtu du même long manteau de cuir noir qui le caractérise tant. Celui-ci lui descend jusqu'au bas des genoux et reste en permanence ouvert, laissant vaquer les deux pans arrières au gré des vents. En dessous de ce vêtement se trouve un simple débardeur noir d'une banalité plus que banal, ne faisant que renforcer l'attention sur le pendentif accroché autour de son cou. Il s'agit d'une croix celtique en argent où sont gravées de petites runes et est ornée d'un rubis sur chacune de ses extrémités. Ce petit bijou étant un souvenir de l'un de ses voyages dans les terres glacées du nord.
Mais ce n'est qu'une fois arrivé au niveau de la ceinture que vous parviendrez à vous faire une idée de ce curieux personnage. Sur la boucle de sa ceinture en acier ressort une petite tête de mort souriante. Elle pourrait paraître classique au premier coup d'œil, mais en regardant de plus près, on remarquera que celle-ci tient un joint fumant entre ses dents. Accroché à sa ceinture et caché par les pans de son manteau se trouve l'essentiel de son équipement de combat, dont deux katanas, un disposé l'un sur l'autre à gauche de sa taille afin de ne pas le gêner. Vers le dos se trouvent une sacoche classique ainsi qu'une fine chaîne couleur ébène longue de plusieurs mètres enroulés sur elle-même. Celle-ci émet de petits tintements lors des déplacements du Kumojin. Juste à côté de la sacoche se trouve une paire de mitaines en cuir noir dans un style très rock qu'il porte souvent pendant ses combats.
On va éviter les conneries philosophiques et se lancer directement dans le sujet. Eiko est une personne que l'on peut qualifier d'excentrique tant ses attitudes et sa manière d'être peuvent paraître décalés par rapport à la situation. Si vous le rencontrez pour la première fois, vous viendrez sans doute à le considérer comme un vil pochtron, grossier et irrespectueux de son prochain. Et vous ne serez pas loin de la vérité. Tout dépend de la manière avec laquelle vous abordez son attitude détachée. En effet Eiko se font ses premières impressions en se basant uniquement sur le physique de son interlocuteur. Si vous avez une tête de con, il vous considèrerait comme un con et réciproquement pour tout le reste. Cela s'en suivra de nombreuses railleries lancées çà et là, d'un ton parfaitement naturel. Car il ne s'agit que d'un jeu pour lui. Cela peut lui permettre de rembarrer les lourdos pour son bon plaisir ou de découvrir les réactions d'une personne face à tel ou tel remarque. Qu'on en rigole et il se dira "tien, en voilà un qui n'est pas coincé". Au mieux, on pourrait lui retourner sa propre boutade contre lui-même et il ne fera qu'en rire à son tour. Commencez à le réprimander sur son caractère par diverses leçons de morale ou d'éthiques et il vous collera l'étiquette "gros con" sur le front. Si vous ne savez comment réagir, il sera tout simplement préférable de ne rien dire et de rester naturel plutôt que de s'énerver. Car en ce monde peux de mots peuvent l'atteindre, ce qui le rend difficile à énerver.
Qu'importe la conversation, il gardera toujours la même attitude allègre, en se contentant de balancer diverses répliques d'un franc parlé qui pourrait en dérouter certain, ou en haussant les épaules lorsqu'un sujet lui semble étrange. Tout dépendra donc de la façon dont vous réagirez face à lui. Car une fois passé ses remarques désobligeantes, il pourra devenir un de vos meilleurs amis. Car s'il ne vous a pas collé la mauvaise étiquette, vous découvrirez un personnage fort sympathique. Il vous arrivera de temps à autre d'en prendre pour votre grade, certes, mais il s'avérera de bonnes compagnies. N'hésitant pas à vous offrir une bière pour aller la siroter à l'ombre d'un bar. Si vous vous montrez sympathique, il sera même capable de vous rendre service sans rien réclamer en retour. Par contre, dans le cas où il vous en réclamera un, n'espérez même pas un remerciement de sa part, pas plus qu'il n'en voudra de vous.
Histoire
Commençons par l'histoire que mon père me raconté étant petit. Depuis ma plus tendre enfance je fus bercé par les livres portant sur l'art des samurais. Un futur apprenti que j'allais être va voir faire partager ses connaissance. Le Bushido est un art ancestral des samaurais. Avec le laido et le bushido , le samurai combat au armes au corps a corps devient pratiquement invincible. La maitrise du laido dans un premier temps offre à son utilisateur, la possibilité d'avoir un temps d'avance sur l'adversaire. L'art de dégainer maitrisé, offre alors au samurai la chance et le privilège de pouvoir dégainer tellement rapidement son arme qu'il peut soit attaqué l'ennemie, sois de parer une offensive. Le bushido est l'art de couper sa cible à des endroits bien spécifique du corps humain. Pour un samurai, son katana est son meilleur ami tout le long de sa vie. Il faut en prendre soin et essayer de garder le tranchant de son arme a son maximum. Le tranchant de l'arme est le plus souvent utiliser par les adeptes du bushido. L'utilisateur du bushido mise tout dans le tranchant de son arme pour pouvoir combattre l'adversaire. Le maître en bushido a une maitrise parfaite du corps humain. Les connaissances sur les tendons, os non pas de secret pour lui.
Quand l'acquisiteur de la technique bushido combat , il analyse les déplacements de son adversaire pour attendre le bon moment pour si sectionner un membre. Il ne coupe pas le membre a proprement dit. Il le sectionne de l'intérieur grâce a un coup vif et précis. L'adversaire qui reçoit ce genre de coup ne sans rends même pas compte de suite. Le but de l'art du Bushido est de couper les partit intérieur pour mettre l'adversaire dans l'incapacité d'utiliser le membre touché. Sectionnant alors le tendon ou le ligament l'utilisateur du bushido est redoutable au corps à corps contre quelqu'un qui ne combat pas aux armes. Un utilisateur en Taijutsu par contre peu éviter en scrutant les faits et gestes du samaurai. Devant être très précis, l'utilisateur de l'art de découper doit arriver à viser dans un temps imparti sa cible qui pour pas facilité la tache est en mouvement. Les faiblesses de cet art son la vitesse et la précision. Si l'adversaire en face de vous possède plus de vitesse que vous, alors le bushido ne vous seras d'aucuns secours. Il est préférable de connaitre d'abord le Laido avant de se lancer dans un art bien plus délicat. Pour maîtriser parfaitement le Bushido, il faut que l'utilisateur s'entraîne durant une grande partie de sa vie.
L'âge de mes 15 ans. Le jour J dans notre famille. Le jour ou un père et son fils partent pour un entraînement entre hommes. Je connaissais toutes les parties conceptuelles sur l'art d'être un samaurai. Je n'avais pas encore eu la chance de connaître un vrai maître de cette discipline. Le destin croisait bien les choses, quand mon père m'annonçait que je devais maintenant rejoindre Ako. Un samaurai exilé depuis longtemps du pays du fer. Natif du village caché de Kumo, ma famille vivait en paix avec la société. Depuis plusieurs générations les membres les plus méritants quittés leurs domiciles pour devenir de grand sabreur. L'enseignement apporté par Ako, vise l'excellence. La crème de la manipulation de katana. Il pouvait dégainer aussi vite que le vent. Sa gestuelle lui donné presque l'impression pour nous autres de le voir littéralement flotter dans les airs. Mon père lui-même avait eu la chance de devenir son élève. N'étant pas officiellement confirmé comme " Maître " en Bushido, il ne pouvait pas faire connaître son savoir. Je devais passer obligatoirement mes cinq prochaines années chez cet homme.
Un jour, le père d'un enfant décidé qu'il était l'heure pour lui de devenir un homme. Grandir, être quelqu'un, devenir un être bon et respectable. Ceci était le rêve de mon père, celui qui fit de moi ce que je suis aujourd'hui.
Le pays du fer , originaire d'une contré lointaine était paisible, il faisait bon y vivre et les habitants du se petit village étaient tous chalereux. J'étais dans ce tout petit village avec mon père qui était dans sa jeunesse un samurai de grande renommé. Il avait participé à de nombreuses guerres et en était sorti tout le temps victorieux. Un modèle pour tous les samurais du village, il était le percepteur d'une nouvelle façon de se battre au katana. Son enseignement était au niveau de son expérience. Tous les samurais voulaient avoir la chance de pouvoir être entrainé par lui, et moi son fils jus la chance de pouvoir faire cela. Sa remontée, à il y a onze ans , le jour de ma douzième année sur cette magnifique terre.
Mon père avait décidé de m'offrir mon tout premier katana en matière et non plus en bois pour les simples entrainement. L'acquisition de cette arme faisait de moi un autre homme. Je venais de passer le stade d'enfant a semi-adulte. La manipulation d'une telle arme pour un novice pouvait lui être plus que défavorable. Mon père ayant commencer mon entrainement par une arme en bois m'a aidé à me familiariser avec cet instrument. Oui, ceci était un instrument, même si aucune mélodie sortait de sa lame, le coté acier de la chose rendait une sorte de mélodie a chaque coup porté.
Le bruit du métal cognant contre un objet faisait un petit bruit sourd. Dans la mythologie, les samurais avaient un katana des leurs plus tendres enfances. Ce katana offert de génération de père en fils devait symboliser l'aboutissement de toute une vie pour le prédécesseur. Mon père venait de m'offrir son propre katana, issu d'un matière provenant uniquement du pays du fer. Il avait été forgé à l'époque par son arrière-arrière-grand-père.
Cette technique était le fruit d'un entrainement long, dur et rigoureux. L'art du laido permet à son utilisateur de dégainer si rapidement son arme qu'il peut parer ou attaquer sans que l'adversaire puisse comprendre. Il fallait arriver dans un état de concentration avancé pour arriver à maîtriser ce genre de technique. Mon père était un brave utilisateur de cette technique. L'apprendre à son fils n'était que la juste logique des choses. Mais comment un homme sans femme, qui vivait uniquement de son, protéger le village. Il n'avait pas eu une vie facile lui aussi, fils d'un homme qui avait sombré dans le désespoir et la folie après la mort de sa femme. Mon père avait dû se construire tout seul, sans la moindre attache familiale. L'apprentissage du Laido n'allait pas se faire tout seul , il fallait que je commence a mis mettre au plus vite.
Mon père me réveilla à l'aube pour partir dans les montagnes du pays pour commencer mon entrainement. La neige, le froid, l'altitude, tous ses éléments allés joués en ma défaveur. Pas habituer à m'entraîner sous des températures hivernales, je devais déjà faire un combat contre moi-même. C'était une lutte de l'esprit contre le corps, et je devais arriver à faire cohabiter les deux pour pouvoir réussir. Il le fallait bien, ne serais que pour mon père qui se donne tant de mal depuis le début de ma vie. J'enfilais mon kimono rouge bordé de petite fleur d'orée ainsi que mon pantalon en soie bleu façonné par une vieille dame du village. Mon katana attaché a son étui au niveau de ma taille, mon père entra dans ma chambre pour me faire signe qu'on y aller.
" Fils, il est l'heure de partir en direction des montagnes du village. Ton entrainement commence. J'espère que tu es fin prêt ! " " Très bien père, je suis prêt à partir quand tu le souhaites ! "
Un grand homme m'avait dit un jour : que le pouvoir ne l'intéressait pas. Il était selon lui trop compliqué, trop pervers, il était le reflet d'une société malade où chacun s'avilit, pour peu qu'on lui donne une autorité et une liberté d'agir. Voilà pourquoi ces terres et ses villes étaient libres, nulles n'en était le maître, et si l'un osait le prétendre, d'autres sortaient un instant de l'ombre pour le ramener à sa place. La ville est à tout le monde, chaque rue, pierre et recoin appartenaient à celui qui l'occupait. Cet équilibre reposait sur l'a certes controversée loi du plus fort, mais il fallait reconnaître que cela avait parfois ses avantages. Je lui avais répondu que sans le pouvoir, cette paix et quiétude ne pourrait régner en ces terres, bien trop de choses étaient en jeu pour croire en la confiance humaine et leur humanité à accepter une cohabitation commune.
Nous y voilà, l'aboutissement de ma jeunesse va enfin se produire. L'heure du départ avait sonné, il était temps de rejoindre les montagnes du pays du fer pour commencer mon apprentissage du Laido. Je n'avais pas n'importe qu'elle maitre avec moi , j'avais ce que n'importe qu'elle samurai pouvait rêver. D'être entrainé par son propre père. Nous sortions a présent de la maison, le temps n'était pas des plus clair et des plus joviale. Il faisait grisâtre, il neigé depuis plus de cinq jours déjà. Il était portant pas trop tôt mais la couleur du ciel nous ramener a quelque heures. Ce décalage entre le temps et le temps était assez choquant.
Notre route va d'abord commencer par l'assenssion de la première difficulté du chemin. Pour atteindre les montagnes, il fallait passer par une sorte de grotte qui traversée le premier versant de la montagne. Pour ensuite atteindre la plaine d'Hyrule, plaine qui nous conduira jusqu'à la montagne du Fer. Montagne ou comme je le disais, les plus grands samurais avaient suivi leur apprentissage. Mon père ouvrait la marche dans cette épaisse neige, qui comme un enfant me servais de ses pas pour pouvoir avancer. La marche allait durer quelque heure tout au plus.
Nous avions pris un bon rythme de marche, nous laissant le soin de pas trop s'épuiser avant la grotte. Pendant la route aucun de nous ne laisser échapper un mot de sa bouche, comme pour montrer que toute force est bonne à prendre. Voilà pourquoi je n'étais pas d'un style social à bavarder avec les gens. Mon père parlé peut , ou du moins il le faisait en cas d'extrême néssécité. Notre marche était silencieuse, aucun son émané d'un de nous, rien le silence total créant une apesanteur assez lourde. Mais bon, il n'était pas bavard cela ne me dérange pas plus que ça. C'était juste que le chemin va être encore long, et la discussion aurait permit de combler cette longue route. Mais pas grave, j'allais donc faire comme lui, ne rien dire et garder pour force pour arriver vivant jusqu'au sommet de la montagne de fer. Au bout de plusieurs heures a braver le froid, la neige et la fatigue, nous arrivions enfin devant l'entrer de la grotte. Là par stupéfaction mon père prit la parole pour m'expliquer en quoi va consister le voyage.
" Fils nous y voici ! La grotte pour atteindre les plaines d'hyrule. Fait attention à toi, la grotte est sombre et le sol est humide. Suis-moi de près si tu ne veux pas glisser dans un trou. À ton age cela serait quand mmêm facheux. " " Très bien père, je ferais attention "
Entrant mon père et moi dans la grotte, je pouvais a présent comprendre ses dire. La grotte sentit le moisie, tout était humide, des toiles d'araignée étaient présentes par pas moins de la totalité sur plafond. L'endroit était hostile, l'ugubre , sombre , froid , un chemin peux commun pour amener son fils s'entrainer. Sur les murs à droit de la grotte, longeant le long du mur une sorte de corde accrochée par des clous. Mon père tenait cette corde pour avancer. Je faisais donc de même pour éviter de tomber dans je ne sais quoi. Plus ont avançés dans cette grotte , plus il faisait sombre et froid. Il n'y avait pas un halo de lumière pour se repairer.
Je ne sais pas par qu'elle moyen pour père arrivé à voir son chemin dans un noir pareil. Nous avançions doucement pas après pas pour ne pas chuter, mais pour moi j'avais l'impression d'être dans cette grotte depuis plus d'une heure sans arriver a voir le bout. La fin n'était pas encore proche loin de là. Mon père s'arrêta de marcher brusquement , sans me prévenir, et bien sur je le percutais dans le dos. Sur la gauche de la grotte, il y avait un petit renfoncement avec a l'intérieur l'arsenal parfait pour le campeur. Deux matelas, au centre du bois pour faire du feu. Tout était prévu pour pouvoir faire une halte avant de repartir.
Malgré tout, j'étais déjà fatigué par cette marche dans la grotte qui était tout de même bien pentue. Mon père me fit signe de lui suivre jusqu'au petit camp tout finement préparé pour nous. Je posais mon katana son le matelas et mon père firent de même en rajoutant son sac a dos. Il sortit du sac deux pierres avec les qu'elle, il allait allumer un feu en les frappants l'une contre l'autre. Pendant ce temps, je me dégourdissais les jambes. Étirant mon corps après une si longue marche ne ferait pas vraiment de mal. Exécutant sur le matelas diverse série de position pour d'étendre mon corps, mon père faisait déjà cuir la soupe. Un bon petit plat pour nous remettre les circuits en marche.
Mon père avait aussi pris un avec lui intitulé " Bushido et Laido ". Un livre qui parle des nombreuses façons de manipuler le katana. Sa m'avait tapé a l'œil, il fallait que je puisse en savoir plus. Discrètement pendant que mon père préparé le soupé , je pris le lire et le commença a lire. " Introduction : Laido et Bushido. L'art de dégainer, l'art de couper. " Le bushido ne me disais rien, il fallait que je continue a lire ce libre pour en savoir un peux plus sur l'art de couper. Je tournais alors rapidement les pages pour atteindre les premiers chapitres parlant alors du Bushido.
J'étais stupéfait de lire de telles choses. C'était remarquable comme le fait de manipuler au katana offrait plusieurs possibilités de technique et de style. Le livre était trop gros pour que je puisse le lire d'une seule traite. Mon père mangeait sa soupe a coté du feu, et j'allais faire de même. Nous étions encore loin de notre destination, il fallait vraiment que je face le plein de force pour continuer se voyage. La soupe était tiède, en même temps, je m'étais penché sur le livre qui m'avait pratiquement fait sauter l'heure du repas. Oubliant la cuillère, je pris directement le bol que je portais à ma bouche pour boire directement.
Si la soupe était froide cela deviendrait encore moins bon, déjà que tiède ce n'était pas le top. Buvant rapidement ma soupe et reposant discrètement dans le sac de mon père, je commençais a remettre mon katana au niveau de ma anche et a ranger mes affaires. Mon père faisait de même et nous repartions vers la sortie de la grotte qui ne devait plus être très loin. Au bout de plusieurs minutes, cela devait faire une bonne demi-heure que nous étions repartis, je pouvais distinguer au loin une petite lueur du jour.
La sorti de cette grotte sombre et étroite allée enfin nous faire face. Au niveau de la sortie de la grotte je pouvais voir l'étendu des plaines d'hyrule. Le climat aussi avait changer entre chez nous et ici. Le sol n'était plus recouvert de neige, mais recouvert d'une herbe magnifiquement verte. Le soleil brillait haut dans un ciel bleu se mariant parfaitement avec le vert de la verdure. Nous entamions notre chemin maintenant dans les plaines, bordé d'arbre, de petit ruisseau, d'animaux sauvages. Le contexte ici était bien différent de celui que j'avais vu jusqu'a présent. Je passais d'un décor gris et blanc, ai un paysage couvert de couleur plus ravissante les unes que les autres. On pouvait presque entendre les oiseaux chantés quand il y avait un moment de silence.
" Tu vois mon fils, c'est ici que les grands guerriers samurais venaient pour trouver la paix dans leur esprit. Les plaines d'hyrule son sacret par les samurais depuis des années. Seuls les samurais connaissent l'existence de ses lieux. Prends en toi toutes les ressources dont tu auras besoin pour ton entrainement. Fais le plein d'air, le plein de souvenirs dans ce lieu si beau. "
Dans les livres que j'avais pu lire sur le sujet, on pouvait définir soit même son propre style de combat avec son katana. Beaucoup de choses n'étaient pas raconté, il s'agissait de chose très taboue. Une compétence pareille tombée entre de mauvaise main, pourrait causer de gros ennuis. J'étais celui dont mon père fondé tous ses espoirs. Une lourde tâche venait se poser sur mes épaules.
Éclipse de plusieurs jours
Nous voilà enfin au temple Haoko. C'était ici, le lieu qui allait faire de moi un autre homme. Il n'y avait que des pierres, des sculptures d'immense bouddha. Le temple plutôt peu entretenu ne paraissait pas habité. Il y avait une grande cour, bordé de pylône rouge ovale. Une sorte de surface d'entraînement en pierre où l'on pouvait voir divers impacts de lame au sol. Un dojo venait fermer cette surface de combat, les portes faites de bois déjà entre ouverte. Avançant doucement marche après marche, je pouvais voir un homme assis face à quelque chose que je ne pouvais d'écrire. Je rencontrais à ce moment précis un drôle de sentiment. Complètement sans savoir à trop quoi m'attendre, je laissais échapper sans la moindre conviction une phrase " Ako. Vous ... ? Dois-je vous appeler maître des maintenant ! ? "J'avalais ma salive tant que je le pouvais encore. Stressé comme, un étudiant novice qui entre à l'académie, j'attendais une réponse ou une réaction. Mais rien ne venait. Une idée, j'allais donc faire comme lui. Déposant mon Hito ( nom de mon katana ) à l'entrée du dojo, déposant juste à côté mes chaussures. J'avançais vers l'homme en pleine méditation. Lentement, essayant de ne pas le déranger, je pris position juste à sa droite et je me plaçais comme lui. Le regardant pendant plusieurs minutes, j'effectuais les mêmes gestes que lui. Le bras envoyait latéralement sur la gauche, une expiration, une inspiration, le bras revient près du corps. Voilà le mouvement qu'il faisait depuis tout ce temps.
Encore une fois, puis une autre fois. Je restais la avec lui durant plus d'une heure à faire le recopier. L'action qu'il faisait et que j'étais en train de reproduire était celui de dégainer et de rengainer. Il s'agissait en faite de notre geste au moment du combat, retirer l'arme de son étui et le remettre. Quelque chose de facile, mais qui devait être très rapide et sec. Nous restions la tout deux, à continuer de faire des positionnements de corps et des bras.
Un an .... Deux ans .... Jusqu'au jour de mes vingt ans, je restais dans ce temple. Guidé par Ako, mon maître. Il était maintenant temps pour moi de rejoindre les miens au village de la foudre. Commencer ma vie de ninja au sein de mon village. Mon nindo venait de naître. Je serais la lame qui ramènera la paix dans le monde.
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Atra Bilis
Shodaime Mizukage
Messages : 90 Date d'inscription : 04/08/2014 Localisation : C'est la tour des pirates, 17h y'a plus rien reviens plus tard losbo
Je vais te noter, mais ne t'attends pas à une rédaction de ma part, je vais juste donner des points à revoir et les points que j'ai apprécié. Je suis trop fatigué et malade, jouer du piano sur un clavier ça m'affaiblit.
Les +
- Bien aéré. Le personnage est intéressant.
- Tu décris plutôt bien.
- L'histoire est pas mal.
Les -
- Des fautes. La syntaxe à revoir ainsi que la ponctuation.
- Tournure de phrase, relis-toi à voix haute.
- Les temps.
Verdict
Tu passes rang B, tu devrais revoir les points que je t'ai donné. Même si je ne rédige pas, je t'ai déjà tout présenté sur skype.
La Suite
Maintenant que tu es validé, tu peux enfin passer à la suite des choses! Voici quelque liens qui te seront des plus utiles pour poursuivre ton aventure parmi nous!
-Avant de partir au combat, tu pourras faire ta fiche techniqueICI
-Une fois le tout fait, si tu n'as pas de partenaire avec qui rp, tu peux en faire la demande ICI
-Quand le rp sera terminé, tu pourras le faire corriger et ainsi avoir ton expérience en faisant une demande ICI
-Après cela, si tu veux, tu pourras venir te détendreICI et ICI
-Finalement, si tu as des questions, ne te gènes pas et viens les poser ICI